Le concept même de Sombre (pas réaliste, cinématographique) laisse à Gauv une certaine latitude dans le traitement des dommages des armes, même si, tu as raison, il faut quand même éviter les trucs aberrants qui pourraient faire décrocher les joueurs de la fiction.
Si Gauvain juge qu'il faut différencier techniquement le nerf du gourdin, la règle sur les armes improvisées (SL6 p. 9) le lui permet. Le gourdin pourrait ainsi faire 3 Blessures (4 dans les mains du beau-père parce qu'il est Fort) et le nerf 1 ou 2 seulement.
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bon après le problème reste le même. que faire une fois à zéro.
Je pense que l'option évoqué par je ne sais plus qui et que je résume ci-dessus, ma semble un bon choix (je parle du fait qu'à zéro c'est la bête qui prend possession du corps). vous en pensez quoi ?
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Emilia morte-vivante, moi je dis que c'est fun, mais Gauvain ne semble pas avoir encore tranché la question :
Si Emilia meurt le Monstre prend le contrĂ´le (Ă voir).
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Mais du coup, que se passerait-il si Emilia mourrait ?
Pour l'instant, sauf épiphanie, je pars du principe que si Emilia meurt le monstre est libéré. Et donc mettre les dégâts du nerf de bœuf à 2 n'est surement pas une mauvaise idée si on ne veut pas précipiter cette issue.
De là a dire que les dégâts sont plus psychologique que physique et que la maltraitance physique est un bon exemple de séquelles psy et non physique, il n'y a qu'un pas que je franchie allègrement, Na !
Tu as bien raison de souligner l'importance des Séquelles psy parce-que dans l'optique d'une partie sans MJ il va falloir cadrer précisément comment Emilia perd de l'Esprit (surtout que chaque point perdu donne au Monstre l'opportunité d'agir, on ne peut donc pas faire n'importe quoi).
En tout cas il faut vraiment que je réfléchisse aux liens entre les scènes 2 et 3 pour pouvoir amener cette dernière scène quelque-soit l'issu de la précédente (et sans trop cadrer l'ensemble). Pour faciliter les raccords on pourrait peut-être imaginer des conditions d’arrêt de la scène autre que le temps : par exemple la scène 2 pourrait s’arrêter dès qu'Emilia ou le Monstre franchit la porte de la cave (ou bien au bout de 10 min).
Et il faut aussi que je réfléchisse aux conclusions possibles du scénar. L'idée serait d'avoir trois fins possibles :
1) une si c'est Emilia qui a le contrôle à la fin de la scène 3 ;
2) une autre si c'est le Monstre ;
3) une autre si c'est le Beau-père où la Mère.
Ces fins pourraient être des références à VS-134. Par exemple :
# fondu au noir ;
# bruit d'une détonation ;
# douleur déchirante à la tête ;
# lente dérive vers une muraille blanche qui prendrait la forme d'un visage souriant (fin 1), d'une toile d'araignée (fin 2) ou bien encore s'éteindrait pour laisser place à l'obscurité (fin 3) ;
# Générique (Also Sprach Zarathustra de Richard Strauss, comme dans VS-134).
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Ces fins pourraient être des références à VS-134.
Hum, je ne sais pas si c'est une si bonne idée que ça. Pas si tu veux t'en tenir à ça :
il peut être joué avant, après, ou bien encore indépendamment du scénario VS-134.
Ce d'autant que si VS-134 est très typé SF, Trois petits tours et puis s'en va pas du tout. Rien qu'en terme de genre, y'a quand même un fossé entre les deux. Du coup, la fin aurait toutes chances de rester super cryptique pour les joueurs qui n'auraient pas préalablement joué VS-134.
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Rien qu'en terme de genre, y'a quand même un fossé entre les deux.
Le mélange des genres risque de piquer un peu c'est vrai. D'un autre côté l'envie de faire une sorte de trilogie me botte bien. Bref, j'hésite (et je risque d'hésiter encore quelques semaines pour cause de pause rôliste estivale).
Du coup, la fin aurait toutes chances de rester super cryptique pour les joueurs qui n'auraient pas préalablement joué VS-134.
C'est vrai, cela dit mes joueurs l'ont fait et ça reste ma priorité.
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Et si, ce scénario correspondait à ce qu'Emilia vivait au moment de sa mort. Sans savoir qu'elle est en train de revivre sa vie et qu'a terme elle mourra ?
Plus j'y pense plus je me dis que le thème colle parfaitement !
"If you're frightened of dyin' and you're holding on...
You'll see devils tearing your life away.
But...if you've made your peace,
Then the devils are really angels
Freeing you from the earth..."
Dernière modification par Dkarl (12 Jul 2012 00:07)
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Et si, ce scénario correspondait à ce qu'Emilia vivait au moment de sa mort. Sans savoir qu'elle est en train de revivre sa vie et qu'a terme elle mourra
C'est comme ça que je voyais les choses au départ.
Donc c'est cool, si tu y penses aussi l'idée doit être intéressante.
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un grand classique du fantastique depuis un certain film de la fin 80's/début 90's dont je ne voudrais pas spoiler la fin en donnant le nom pour ceux qui n'auraient pas percutés et pas vue... ^^
j'ai même envie de dire, qu'on pourrait carrément piller le film pour savoir qu'elle but aurait chaque perso... voir la citation au dessus.
Ce qui est visiblement la pour la torturer ne serait que des éléments de sa proche psyché tentant de la libérer... (faire la paix avec soit-même).
comment le traduire concrètement... peut être qu'in fine, le but d'Emilia serait d'accepter ces bourreaux et non pas les fuir ou les combattre.
Dernière modification par Dkarl (12 Jul 2012 09:39)
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J’ai modifié le premier post du sujet pour y mettre la dernière version du scénario. Beaucoup de changements :
— Ajout d’une condition alternative de fin pour les scènes.
— Ajout de 2 min au timer de chaque scène.
— Modification de la mise en scène pour renforcer le côté théâtrale.
— Ajout d’une liste des actions susceptibles d’infliger des Séquelles à Emilia.
— Si Emilia meurt le Monstre prend le contrôle de façon temporaire puis meurt également. Par contre si elle devient folle il prend définitivement le contrôle.
— Ajout de précisions sur la possession du Monstre.
— Le Monstre et la Mère ne se régénèrent plus entre les scènes.
— Emilia peut maintenant lâcher la bride pour forcer le Monstre à agir.
— Ajouts de tags (concept + personnalité) pour tous les personnages.
— Modification de la présentation des traits des personnages.
— Ajouts de fins possibles pour le scénario (à travailler).
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