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#1 16 Apr 2017 13:59
- Thomas Munier
- un jeu par mois, tranquille
- Inscription : 05 Feb 2008
Playlist Little HĂ´-Chi-Minh-Ville
crédits : thomas hawk, verlaten, licence cc-by-nc, collection of old photos, Sam Droege, domaine public
Une centaine d'albums en écoute libre, intégrale et légale pour sonoriser aussi bien le biopunk asiatique lovecraftien de Little Hô-Chi-Minh-Ville que du cyberpunk plus générique !
Mon conseil : passez deux albums en simultané si vous voulez ajouter de la tension, de la texture, de la folie.
Et si vous souhaitez partager ou modifier cette playlist, voici le texte en format PHP
--18, par 2184, de la synthwave pour atmosphères pluvieuses dans une grande cité de câbles et de néons, un voyage nostalgique à l’intérieur d’un film d’animation japonais de SF qui n’aurait jamais vu le jour.
S/T, par 5ive. Du drone speed/heavy doom instrumental, tempête de goudron en fusion pour une débauche de son hallucinée et macabre.
Void(); par Access to Arasaka, de l’electro cyberpunk down-tempo pour réalités virtuelles ouatées ou investigations sous zéro kelvin.
Myth of the Love Electrique, par Acid Mother Temple : l'apocalypse psychédélique vous inondera de joie jusqu'à l'overdose. Insoutenable.
Transmissions form Boshqa, par Ak’Chamel. Une folktronica exotique et lo-fi, entre Damas et Calcutta, entre Ennio Morriconne et le marché aux épices, entre charmeurs de serpents et vendeuses de mixtures.
Sonic Mass, par Amebix, un hymne post-punk et crust à la fois ultra-nostalgique et ultra-moderne, un chant de résistance écorché qui déferle comme un raz-de-marée.
S/T, par A Place to Bury Strangers, du post-punk saturé, mélodique et dépressif pour se faire un dernier shoot dans une ruelle sombre en attendant la suave étreinte de la mort.
Amerijuanican, par Bongzilla, du sludgecore / stoner metal enfumé, piétinant, jouissif et groovy, pour la dernière charge badass de celles et ceux qui ont survécu à tout.
Terminal Static, par Broken Note, du dubstep bien vénère pour un run en mode fast-forward !
Mother Blast, par Brume, un dark-ambient post-nucléaire, post-jazzy, post-exotique et post-humain.
Bunong Pop Songs, par Lok Ta, de la cosmic pop cambodgienne. Ambiance de marché d’asie du sud-est sur fond de mélodies naïves et d’instrumentaux traditionnels ou synthétiques improbables !
Lullabies, par Bunong, comptines pour enfants au bord de la nuit.
Trilogy, par Carpenter Brut, le sommet de la synth wave dans sa version la plus flamboyante, lugubre, badass et post-apocalyptique !
Ghost in the Shell, par Celiac, du trip-hop pensé comme une bande originale alternative pour l’animé Ghost in the Shell. Planant et immersif.
S/t par Chains made of chalk, du space dark ambient mélodique pour un trip à la Solaris où les lumières s’éteignent les unes après les autres dans le vaisseau.
S/T, par Compost Golem, 15 minutes de la meilleure lourdeur que puisse offrir le black, le doom, la drone et le noise pour une rencontre avec une entité métaphysique terminale.
Absence, par Dalëk, un hip-hop noiséeux et désabusé, un graffiti physique comme un dernier cri de révolte.
ló-kó?-chhù - Penghu Experimental Sound Studio Vol.2, par Yannick Dauby, du field recordings ruisselant d’une eau noire omniprésente, entre des récitations enfantines et des drones comme des gongs d’outre-mer.
Lament Element, par Defrag, du dubstep downtempo pour un trip robotique sous influence lovecraftienne.
Surface Tension, par DEFCE, une dubstep aussi enlevée que facile d'accès, une grosse montée d'adrénaline avant l'explosion finale.
Deflagrations of Hell, par Deutsch Nepal, un dark ambient aussi easy-listening que puissant et misanthrope. C’est la fin, couche-toi et meurs.
No Water, par Dhidalah, du rock psychédélique instrumental joué à fond les ballons, pour un trip sous substances hautement trafiquées.
Teletranceport, par Diksha, de la psytrance chamanique qui ne s’arrête jamais de courir.
Radio Nepal Vol. 1, par Aaron Dilloway, une radio népalaise imaginaire et un peu folle, où se collisionnent conversations du quotidien, chants folkloriques et morceaux de pop culture.
The Butterfly Effect, par DJ Krush, entre synthwave et trip-hop, un moment d’atmosphère cyberpunk posé, le calme avant le tempo.
Hypermodern Jazz 2000.5, par Alec Empire, de l’electro-jazz entre musique de cantina et Twin Peaks. Exotique, groovy et chelou.
Psychical, par Ensemble Économique, un panorama sonore à la fois urbain, tribal et cinématographique, la bande-son trippante d’un Truffaut égaré à Hong Kong.
All The Footprints You've Ever Left And The Fear Expecting Ahead, par Envy, entre screamo et post-hardcore, murmures et hurlements à fleur de peau d’une poésie qui fait froid dans le dos.
Daylightless, par Fanu, du drum and bass ethnique et mid-tempo pour ambiances de rue et méditation juste avant l’assaut.
Polar, par Fanu, de la drum and bass dure et arctique pour des lendemains où c’est parce que t’es sans espoir que tu trouves encore la force de marcher.
Fader Mix, par Helen Feng, un mix techno-trip hop asiatique pour ambiance de rues, de cuisines et de postes de radio possédés.
Midnight Cigarettes, par Floral Shoppe, de la vaporwave qui sonne comme une vieille pub holographique buguée, un soir nostalgique dans la ville un verre de whisky à la main.
Echoes, par Front Line Assembly, un ensemble de remix d'un des papes de la scène electro-indus, avec en fil rouge une même urgence générale et une même voix dictatoriale et robotique.
At Saint Thomas The Apostle Harlem, par Diamanda Galà s, entre opéra, cabaret et gospel écorché chantée par une sorcière du fond des abysses insectoïdes de la folie.
Gita Kencana, par Gamelan Angklung. Un ensemble orchestral balinais offre une ambiance qui rappelle les marchés enfiévrés, les fêtes rituelles et les petits moments de la vie.
Deconstruction, par Girth, du métal instrumental virtuose pour ambiancer les plus what the fuck des fusillades !
SE Asian Noise(s), par Gonzo, un assemblage de fields recordings et de musiques d’asie du sud-est, et de bidouillages électroniques, dans l’effervescence du quotidien.
Lunatico, par Gotan Project, de l’électro-tango pour instants feutrés au milieu de la folie électrique.
Formless, par Gridlock, une pièce maîtresse d’électro mid-tempo pour toute ambiance futuriste qui se respecte.
No Blue Sky, par Haikai No Ku, du drone blues avec une section rythmique en fusion pour un cauchemar opiacé qui n’en finit jamais.
Demo IX.MMXVI par Heimatlos, entre drone orientalisant, black metal spectral et noise étouffé, un décor pour rituels fantômes.
Birth, par Human Light Ship, une musique rituelle moderne richement axée autour du didgeridoo, une excursion totale dans le temps du rêve.
Hollowed, par Ital Tek, de l’électro planante et futuriste dans le plus pur esprit cyberpunk, belle et menaçante à la fois.
Orient + Occident, par Jastreb, de la musique traditionnelle du moyen-Orient jouée façon drone et portée par un chant grave incantatoire et extatique, celui d’un étranger perdu dans l’immensité de l’ailleurs.
Trance and shamanism in Central Java, par Jathilan, un gamelan frénétique pour un rituel chamanique qui mêle le calme et la tempête, l’imprécation aux esprits et les discussions du quotidien.
Lost Chants / Last Chance, par Kandodo McBrain, un morceau de bravoure total en matière de rock psychédélique / acid western instrumental, la plus lysergique des soupes primitives.
Khun Narin Electric Phin Band, par Khun Narin, du rock psychédélique instrumental, circulaire et hypnotique, aux influences thaïlandaises bien senties.
Tellurique, par Kill the Thrill, entre indus et post-hardcore, la dernière bataille de l'espoir au champ d'honneur.
Ygg Huur, par Krallice, la fusion black metal, jazz et post-hardcore pour courses-poursuites destructurées entre les griffes des entités mythologiques et du désespoir délectable.
Vibrapuls, par Dubravko Lapaine, du didgeridoo conçu pour un voyage cosmique intérieur.
Borderless Shadows, par Howie Lee, de la folktronica tintante pour lendemains urbains lourds de promesses.
Mù Chè Shan Chu, par Howie Lee, la synergie complète entre électro et musique traditionnelle chinoise, qui dessine le Pékin du futur.
Abraxas, par L’enfant de la forêt, de la dark synth vénéneuse et cauchemardesque pour la traversée exaltante et farouche du pays des morts et des fantômes.
Fantasy Empire, par Lightning Bolt, un math-rock speed, destructuré et revendicatif, la révolution au mégaphone et en instantané, avec option groove et violence sans filtre.
Water’s Ruins par Loki Fun Lilith, du dark ambiant noisy, inondé dans une cave sous un marais sous un arbre sous une voix d’outre-tombe.
The Architect, par Loom, du psytrance aussi speed qu’un cœur qui bat la chamade.
Falling Apart, par LukHash, au carrefour entre le 8-bit, l’action movie des années 80 et la pop, un mélange exotique et détonnant.
Samurai, par Machinecode, entre synthwave, breakcore et drum and bass, une bande son cyberpunk pleine de mechas, d’action et de chrome.
Phi, par Mai Mai Mai, la puissance du beat, la colère de la guérilla, le chaos bruitiste, tout ça dans le même chaudron de groove vindicatif !
Venerology, par Merzbow, de la harsch noise industrielle, tout à fait vénère et vénérienne.
There are other possibilities, par Antony Milton, un diamant brut de l'ambient drone en provenance de la Nouvelle-Zélande. Mystique, trippant, urbain et introspectif. Différent.
Occult, par Misogi, un trip-hop urbain aussi introspectif qu’inquiétant.
Cheval Ouvert, par Monno : entre math-rock, jazz extrême, harsch noise et black metal sans paroles, une furie aussi gargantuesque et rythmée qu’elle est mystérieusement mélodique.
Sycophant of Purdah, par Muslimgauze, de l’indus arabisante de guérilla.
Songs for Wong Kar-Wai, par Nadja, du drone mélodique qui reprend les thèmes intimistes des films 2046 et In the mood for love pour en tirer une montée en puissance horrifique.
Imperfection, par Nadja & Vampillia, entre drone et cordes, entre crasse et émotion, entre In the Mood for Love et Old Boy, l'envol d'un majestueux oiseau mazouté.
Megalopolis : A Cyberpunk soundtrack, par Neon Vandal, un concept-album électro totalement emblématique de l’ambiance cyberpunk asiatisante des années 80.
The Venerable Dark Cloud, par Loren Nerell, de l'ambiant tissé autour d'un gamelan, introspectif et flippant comme une nuit de mousson.
Medieval, par Odiolab, de l’electro mixé avec de la musique médiévale, qui donne un trip techno-jeu vidéo-mystique-orientalisant des plus dépaysants.
195, par Ogre. Le pinacle de la synthwave action movie des années 80 pour une ambiance SF, cuir et dystopique entre Blade Runner, L’Incal, Judge Dredd et Assaut sur le central 13 !
Mystic Jar of Doom, par Orange Blossom Jam, du doom metal psyché à chant clair. La lourdeur, le stomp, le groove, tout pour partir à la mort avec le sourire aux lèvres et les pieds enduits de goudron. Badass.
Pekak! Indonesian Noise 1995-2015: 20 Years of Experimental Music from Indonesia, comme son nom l'indique, une compilation de noise indonésienne. Noire, bizarre, flippante, tribale et urbaine.
The Uncanny Valley, par Perturbator, du synth-wave bien chanmé à la fois dancefloor, metal et chiptune dans l’esprit, inquiétant, robotique, speed et pyrotechnique.
Nag Bdud Ceremony, par Phurpa, des chants bouddhistes tibétains, d'une voix inhumaine et monocorde, de profonds chants de basse qui résonnent à travers la moelle, une muraille sonique transcendante, psychotrope.
Indulge the Passion, par Picture Palace Music, entre rock progressif et electro berlin school, la bande-son très easy listening d’une mégalopole mentale.
Phantomshmasher, par James Plotkin, du math rock complètement déglingo bavant sur le noise, pour quand tout part en sucette dans les grandes largeurs.
U.M.A par Progenie Terrestre Pura, du space black métal épique : une pièce de science-fiction à couper le souffle.
"EL FIN DEL MUNDO" Bootleg 12-21-2012, par Punish Yourself, l’indus-punk du chaos et de la rébellion faites chair, la révolution en marche à fond les ballons !
Eternal Delights, par Purple Pilgrims, une dream pop spectrale et fragile d’une beauté qui cache sûrement quelque chose.
Gauze, par Ravana, avec cet électro ethnique à la fois dub, muslim et orientale en diable, partez en totale immersion dans le Pakistan du futur !
Primal Sphere, par Robedoor. Entre psyché-drone et power electronics, une messe noire de technopères à la recherche de l’antimatière.
The Galilean Sattelites, par Rosetta, le plus SF et le plus mélodique des albums de post-hardcore pour une envolée tous azimuts vers les montagnes russes émotionnelles de l'enfer digital.
Ethnography of the Miscanthus Ocean, par Scattered Purgatory, un drone americana qui nous entraîne dans les profondeurs du temps, de la chaleur et du froid extrême.
Covered in Metal par Schizoid, punk, technoïde et black metal as fuck, une seringue vénéneuse d’ultraviolence bon enfant !
Vae Solis, par Scorn, un pilier de l’indus et du dubstep monstrueux, une descente aux enfers à coup de presse hydraulique en plein visage.
Minor Disruption, par Sefiros, de l’électro orchestrale et glitch, un opéra-rock héroïque en mode mission impossible.
The Ultraviolent, par Shangai, du bebop sous speed, des morceaux de bravoure Ă la Ennio Morriconne et des breaks hispanisants pour une bande-son cartoonesque et Ă©pique.
Scenes from Hell, par Sigh, du jazz-black metal avec un orchestre complètement barge au service d’une fête foraine mortelle
Weapon, par Skinny Puppy, le retour d'un ancien pape de l'électro-indus pour une leçon punitive affûtée comme un rasoir et groovy comme une bonne grosse cuite, entre synth-wave, indus métal et post-punk revanchard.
Obsidian Shaking Codex, par Skullflower, entre psyché, drone, americana, indus et noise, une rituel goudronné et interminable et groovy et visionnaire.
Bayou Perfume Advert, par Skullflower, un drone oriental et westernisant, tropical et mystique, en crescendo répétitif, pour fumeries d’opium et poupées vaudou.
Distorted Reality, par Trevor Something, une synthwave nostalgique entre morceaux de bravoure 80’s et perdition totale dans une brume de faux numéros.
Gypsy House, par Sundays & Cybele, du rock psychédélique japonais endiablé entre Led Zeppelin, Ennio Morricone et Ravi Shankar, à la fois cosmique, enjoué et speed !
Basement Apes Vol.1, par Sunwatchers, la circularité psyché-jazz, la transe chamanique, le non-lieu cosmique
Rust, par Swarm Intelligence, de l’électro-drone-noise mélodique à mi-chemin entre la décrépitude et l’extase.
L-l-l-lewd, par Tentacle Witches, du nightcore, mélange de musique j-pop accélérée et de grindcore pour explosion de folie.
City of Djinn (Muslimgauze remixes) par The Rootsman, un remix ethno-electro-dub de Muslimgauze, plus arabisant que l’original, une véritable poudrière.
There is no Music from China, une compilation de musique concrète chinoise idéale pour texturer les ambiances glougloutantes de la ville, en la superposant à une autre bande-son !
Supermodified, par Amon Tobin, l'electro-jazz le plus groovy de tous les temps pour un melting-pot endiablé.
Palestine Remixes, par Tokyo Bloodworm, Ă©lectro-folk pour rĂŞverie en plein Moyen-Orient.
Internal Flight 2013 (guitar version), par Estas Tonne, de la guitare sèche en mode ambiant drone, pesante comme l’air en fusion au-dessus du bitume, comme un film d’espionnage où plane une menace omniprésente.
Post-Asiatic: Lost War Dream Music, par URCK Records, une compilation de musique traditionnelle, de world music moderne et de fields recordings : immersion dans une métropole post-raciale garantie.
Rule the world / Deathtiny land, par Vampillia, un black metal symphonique décalé avec un chant féminin lyrique et un chant masculin grim. Un conte de fées violent d’une folie contagieuse.
Catastrophic Anonymous, par Violent Music Orchestra, un hybride monstrueux entre techno, noise et black metal, pour runs vénères au coeur de la démence.
Sax Ruins, par Yawiquo, du jazz hystérique à la Cowboy Be-Bop dans ses moments les plus fous.
Identity Sequence, par Zircon, de l’électro cyberpunk très orchestré avec des vocaux éthérés pour séquences hommages à Ghost in the Shell.
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#2 22 Jun 2017 20:59
- Amleth
- membre
- Inscription : 22 Jun 2017
Re : Playlist Little HĂ´-Chi-Minh-Ville
Thomas, je t'aime !
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#3 23 Jun 2017 09:04
- Thomas Munier
- un jeu par mois, tranquille
- Inscription : 05 Feb 2008
Re : Playlist Little HĂ´-Chi-Minh-Ville
Mais moi aussi je t'aime d'amour, mon cher Amleth.
Cette playlist est encore en construction. Je vais rajouter les images des pochettes et aussi quelques autres albums issus de mes autres playlists, et ensuite trier par ordre alphabétique.
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#4 14 Sep 2017 11:59
- kF
- membre
- Inscription : 26 Sep 2015
Re : Playlist Little HĂ´-Chi-Minh-Ville
Après quelques heures à éplucher cette playlist pour trouver de quoi sonoriser une campagne de Blades in the Dark, je n'ose imaginer le temps que ça a dû te prendre d'assembler tous ces albums, et les autres playlists ! Je mets plein d'albums cools de côté, je pense que j'ai trouvé de quoi tenir des semaines avec ça.
Dernière modification par kF (14 Sep 2017 11:59)
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#5 15 Sep 2017 05:59
- DeathAmbre 2
- invité
Re : Playlist Little HĂ´-Chi-Minh-Ville
je n'ose imaginer le temps que ça a dû te prendre d'assembler tous ces albums, et les autres playlists !
Un grand merciii pour les découvertes, je repars avec Occult, 195 et Supermodified !!!
#6 18 Sep 2017 14:07
- Thomas Munier
- un jeu par mois, tranquille
- Inscription : 05 Feb 2008
Re : Playlist Little HĂ´-Chi-Minh-Ville
Merci Ă vous deux pour ces bons mots !
En fait, cette playlist est encore en progrès : j'ai vingt ou trente références à rajouter, et je rajouterai aussi les pochettes pour tous les albums et je mettrai tout ça par ordre alphabétique.
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