[Inflorenza] Une critique du jeu par DiChim Zoug sur Chimères.org !
OĂą l'on parle de libre, de lecture cover to cover et de sacrifices.
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[Inflorenza] Un mot du libraire concernant le jeu sur le site de la librairie parisienne Charybde !
Où l'on parle du mélange des genres, du système vrilleur de destins et de la replay value !
Une immense forêt a recouvert l'Europe. Paysage post-apocalyptique ou mythique, peuplé comme les contes de Grimm de bêtes sauvages, de brigands, de fantômes...
Par où Millevaux a commencé ? Quand les choses se sont accumulées en douce. On en a perdu le contrôle. Puis le monde s'est refermé sur nous.
Dans un monde où la société et la technologie se sont effondrées, les humains subissent quatre fléaux qui caractérisent l'enfer forestier de Millevaux : le Syndrome de l'oubli qui efface tout souvenir au-delà de trois ans, l'Emprise qui transforme les hommes et les bêtes en bêtes ou en hommes, l'Égrégore qui donne forme et vie aux passions humaines, et les Horlas qui naissent de l'égrégore et des angoisses intimes.
Le plus dur, c'est pas la forĂŞt, les dangers ou les horlas. Le plus dur, c'est de voir que la mort est partout et qu'il est vain d'aimer.
Dans cet environnement flamboyant et torturé, Inflorenza nous invite à jouer des héros, des salauds ou des martyrs, des personnages dont les parcours connaîtront des torsions violentes et les trajectoires des virages inattendus. Western crépusculaire, road movie post-apocalyptique, cape et d'épée, post-exotisme ou pèlerinages tragiques, le jeu permet une très belle variation d'univers, de genres et d'histoires autour des motifs de la forêt, de la transformation, de la poésie et du cauchemar.
Il s'envole avec un mouvement douloureux alors que l'arbre de vie lui pousse dans le dos dans une vaste extase. L'ange aux ailes en branche.
C'est en outre une impressionnante boîte à outils pour les joueurs qui veulent s'emparer de leur partie, proposer leur univers, jouer avec des variations de règles… tout en s'appuyant sur un flot d'inspirations et un système extrêmement intéressant qui permet de vriller des destins entre les mains des joueurs.
Le jour de Lazare, nous reviendrons, purs et innocents. Lavés de nos péchés, drapés de chair putride, nous tituberons sur la Terre Promise.
Forestier, terrible et envoûtant. A jouer. Rejouer. Rerejouer. Et jouer encore.
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[Inflorenza] La mémoire et la peau.
Un nouveau théâtre qui se passe dans les ruines spectrales de Paris, autour de l'oubli et des tatouages !
Crédits image : man under stress, michael flick, sheenyie, thomas fisher rare book library, licence cc-by-nc
& Thor, Wikipedia commons
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[Inflorenza] Isula Di Suspiriu, l'île du soupir.
Un magnifique théâtre corse par Orlov, libre de droits !
crédits : Chris Moody, cremona daniel, lonnon foster, seriykotik 1970, licence cc-by-nc & Lewis Wickes Hine, domaine public
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[Inflorenza] Le jeu est chroniqué par Kirdinn dans JDR Mag N°33 !
Retrouvez aussi pas mal de chroniques de jeux de rôles indépendants sur ce numéro (Sur la route de Chrysopée, Perdus sous la Pluie...) !
Suppression de la critique. Explication plus bas. - J.
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Thomas, je me permets, on comprend que tu sois fier -et il y a de quoi- mais ce mag est payant... Je suis pas sûr sûr que poster l'article soit leur rendre service. Les gens qui auraient été intéressés par cet article ne l'achèteront plus du coup, et c'est dommage pour les autres jeux chroniqués, tu ne crois pas ?
Thomas, DeathAmbre a parfaitement raison.
Je zappe la critique, comme je l'ai fait pour ton scan de Casus l'autre jour.
La presse papier n'est ni creative commons ni copyleft ni domaine public. Pour reproduire un de leurs textes, il faut demander la permission au support. En général, ils la donnent volontiers, mais précisent qu'il faut attendre la parution d'un ou deux numéros pour la poster sur le Net. C'est une sorte de période d'exclusivité, si tu veux.
Contacte JDR mag, c'est le mieux.
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[Inflorenza] Les Guerres Médiques, un théâtre par Epiphanie !
Quoiqu'ils ne fussent qu'une poignée de monde en comparaison des ennemis, ils se battirent, et firent des prodiges de valeur. Mais ayant perdu la bataille, et se voyant forcés de se renfermer dans leurs murs, ils
portèrent dans la citadelle leurs richesses ; et, y ayant rassemblé leurs femmes, leurs enfants et leurs esclaves, ils y mirent le feu, et la réduisirent en cendres avec tout ce qui était dedans. S'étant, après cette action,
réciproquement engagés par les serments les plus terribles, ils firent secrètement une sortie contre les Perses, et périrent tous en combattant généreusement.
illustration : Jacques-Louis David, domaine public
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