On cause de Sombre à Orc'idée sur le Sden.
Le déménagement était intéressant cette fois-ci.
- Davantage de place pour les stands, les joueurs s'arrêtaient plus facilement que par le passé (mais mieux valait ne pas être tout au bout, j'imagine).
- Davantage de place pour les parties, et surtout des groupements de quelques parties par salle, ce qui rend le tout beaaaaucoup moins bruyant et plus agréable que dans les cafétérias.
- Le défaut, c'est le manque de relation avec Satellite, le coin ravitaillement. Mais globalement, ça reste une amélioration.Au niveau partie, j'ai surtout fait monter mon bodycount à Sombre :
- maîtrisé House of the Rising Dead, le premier scénario officiel de Sombre, le samedi soir (total party kill - j'adore ce jeu)
- fait jouer un Sombre Zero (Deep Space Gore) le dimanche matin (total party kill - ce jeu est vraiment bien)
- joué un scénario Sombre Max finalisé, super bien foutu. Survécu avec 1 PV. Sombre c'est bon, mangez-en !Au niveau des autres activités, j'ai tenu le stand Sombre (je vous ai dit que j'aimais ce jeu ?) pendant que Johan faisait ses démos Sombre Zero. Rupture de stock sur le numéro 1 le samedi après-midi déjà , et sur les 2 et 3 le dimanche après-midi. Ca faisait super plaisir de voir des joueurs des années précédentes passer l'acheter, et 2 participants qui avaient joué "Bring me sun" revenir pour mon House du soir.
L'année prochaine, si c'est dans les mêmes locaux, je ferai volontiers une ou deux parties de Classic supplémentaires. Et du Zero. Plein de Zero, surtout si les Grimmies est publié.
N'empêche, Orc'Idée, ça reste la meilleure convention du MOOOONDE ! :yua:
je n'exclus pas de faire jouer du ZĂ©ro l'an prochain, c'est jouissif.
*
La partie "parachutés dans les Ardennes" ne m'a pas convaincu (Johan assume, je pense que les autres joueurs ont a-do-ré) mais Deep space gore totalement par contre, même avec une double contrainte (scénario + train à prendre).
Moralité : les plans, les choix tactiques qu'ils impliquent, plus le contre-la-montre, c'est extra.
Oui, Overlord (le scénario WW2-Garou) est une bonne démo technique mais ça manque de rôle et d'ambiance. Deep Space Gore et les scénarios suivants (les Grimmies, que j'ai suivi du coin de l'oeil, ou d'autres) sont nettement plus intéressants.
Et d'un autre auteur, il y a Kakurenbo. :yua:
Celui-là , je l'adore déjà . :smile:
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La partie "parachutés dans les Ardennes" ne m'a pas convaincu (Johan assume, je pense que les autres joueurs ont a-do-ré) mais Deep space gore totalement par contre, même avec une double contrainte (scénario + train à prendre).
Oui, Overlord (le scénario WW2-Garou) est une bonne démo technique mais ça manque de rôle et d'ambiance. Deep Space Gore et les scénarios suivants (les Grimmies, que j'ai suivi du coin de l'oeil, ou d'autres) sont nettement plus intéressants.
Oui, tout Ă fait.
Overlord est mon premier scénar Zéro, celui que j'ai utilisé pour valider les fondamentaux techniques de la variante, d'où sa simplicité. L'objectif était basique : tester le combat. Deep space gore, développé un peu après, est nettement plus riche à tous points de vue, donc mieux adapté aux rôlistes expérimentés. Je l'ai d'ailleurs écrit en toutes lettres dans Sombre 3 (p. 13).
Le truc, c'est que DSG est assez exigeant niveau maîtrise. Faut être à fond tout le temps pendant 15 minutes et ça crève. D'où le fait que je ne le mène plus en conv. Parce que maintenant que j'enchaîne jusqu'à dix démos par jour, je dois me ménager. C'est vraiment du gros taf.
A contrario, Overlord a l'immense intérêt d'être très accessible, bien plus que DSG. De mon point de vue, cela en fait un bon scénario d'initiation, qualité très appréciable en conv. Avec ce scénar, même quand tu ne connais rien au jdr, t'es pas largué : l'action te saute à la tronche et y réagir est fastoche, suffit d'attaquer à outrance. C'est à la portée de tout le monde, y compris des enfants. Alors que DSG exige des joueurs pas mal de proactivité, ce qui n'est pas toujours facile pour les débutants.
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Playtest Zéro premium – Paradise lake V : Son prénom est Bonniiie
Zéro premium est conçu pour répondre à quel besoin ?
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Zéro premium est conçu pour répondre à quel besoin ?
Le jeu en impro avec des enfants un peu jeunes. Plus proches de 6/8 ans que de 10/12. Dans des settings un poil plus à leur mesure que ce qu'on a fait samedi, il va de soi. Les piles de cadavres scalpés, c'est un peu too much pour des petiots.
Je cherche une variante qui réponde mieux que Zéro redux à leur conception a priori aventureuse du jeu de rôle. Quand je leur demande " Qu'est-ce que vous voulez jouer ? ", la réponse est deux fois sur trois " Des Jedis ". J'ai beau leur expliquer que Sombre est fait pour des histoires qui font peur, ça n'imprime pas. Et c'est normal, ils sont trop jeunes pour avoir plus qu'une très vague idée de ce qu'on trouve dans un film d'horreur.
Redux tend déjà à l'aventure horrifique, mais ce n'est pas encore suffisant. Je veux une variante qui ait les deux pieds dedans. On ne pourra jamais vraiment jouer des Jedis à Sombre zéro, pas sans modifier en profondeur le système (ce que je ne souhaite pas), mais y'a par contre bien moyen de proposer une variante pour jouer des antihéros.
Tout le problème tient comme d'habitude à l'équilibrage. C'est là -dessus que je bosse, et ça commence à venir.
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16 démos aux ELFIC – mai 2015 – Châtenay-Malabry
photo Mathilde Chevallier pour Les Jeux Sont Faits
Les ELFIC et moi, ça commence à faire un bail. Et ce n'est pas un hasard car c'est vraiment une conv que j'aime beaucoup. Tellement que cette année, j'ai maintenu ma participation alors même que c'était une petite (grosse) folie. Parce que le week-end prochain, y'a Geekopolis, un grôôôs salon parfaitement éreintant. Vu que je ne suis pas encore tout à fait remis de mes aventures bretonnes et suisses d'il y a à peine quelques semaines, la chose intelligente à faire aurait été de décommander les ELFIC pour me concentrer sur Geeko.
Oui mais voilà , j'aime *vraiment* les ELFIC. Y'a un côté jeune et bigarré assez kiffant dans cette conv, façon mini festoche des cultures de l'imaginaire. De la littérature de genre, des illustrateurs qui aiment les mangas, des goodies geek improbables, des conteurs cosplayés, de la zique celtique, des gars en armure qui se bourrent la tronche et aussi, oui oui, du jeu, dont de rôle. Extrêmement sympathique.
À côté de ça, c'est un événement étudiant, organisé par de gens de passage dans leur école (Centrale, pour ne pas la nommer), ce qui n'est pas sans me poser certains soucis. Les orgas se repassant la patate chaude ELFIC d'une année sur l'autre, c'est hyper dur d'établir des relations de travail un tant soit peu solides. À peine tu commences à connaître les gens que déjà ils ne sont plus là . De ce point de vue, Eclipse est nettement plus confortable. C'est aussi une conv étudiante à la base (ou du moins, organisée dans des locaux universitaires), mais elle est adossée à un club de jeu de rôle, ce qui change un peu tout. Les orgas passent, mais les anciens ne sont jamais très loin, ce qui facilite vachement le taf.
Pour les RRX et les ELFIC, où la rotation des orgas est ultra rapide et les anciens quasi inexistants (plein de têtes nouvelles tous les ans, ça donne le tournis), c'est moins évident, surtout quand les transmissions ne sont pas tip top d'une édition sur l'autre. Résultat, cette année avant les ELFIC, petite mise au point sur les conditions d'accueil de Terres Etranges. Johan en mode chieur, ce que j'aime moyen. Monter sur mes grands chevaux d'auteur, c'pas trop mon style à la base. Heureusement, tout se finit bien dans le monde merveilleux des Bisounours qui éjaculent des arcs-en-ciel par leur bidon. Du coup, Terres Etranges se radine en force pour la conv, comme il était prévu.
Samedi, Julien tient le stand tandis que j'enchaîne les démos. On arrive en début d'aprème car le matin, y'a jamais personne. Pourtant, Francis, un Opalien fan de Sombre, a tout de même trouvé le moyen de monter un White trash avant notre arrivée. La partie s'est finie en quasi TPK, ce qui augure du meilleur. Ces ELFIC seront sombres ou ne seront pas ! ^^
Hop, on s'installe en trois minutes montre en main et on passe direct au recrutement. Je mène, Julien renseigne les gens, fait de la retape pour le zine et gère les inscriptions pour les démos. Hyper efficace, le gars Julien. Du coup, cinq parties dans l'après-midi : du Dracula, de l'Overlord et même un Camlann, plus deux Deep space gore par Julien parce que bon, des fois faut quand même que je me pose un minimum. Mine de rien, manger un peu ça aide à tenir debout.
18h, remballage. Oui parce qu'aux ELFIC, la zone dévolue aux jeux sert aussi de cantine pour le repas du soir, toute une histoire à base de cochon grillé à la broche. Un truc sympa dans l'idée, mais qui en pratique confine à l'usine à gaz parce qu'il contraint orgas et exposants à une logistique d'enfer (heureusement, notre stand Terres Etranges se remballe en un tournemain). Surtout, le cochon interrompt l'activité de la conv durant trois bonnes heures. De 18h à 21h, bouffe. Et c'est, gnignigni, assez frustrant. Parce qu'à 18h, les tables tournent à plein régime et les joueurs n'ont pas encore faim. Dans une conv rôliste standard, la coupure aurait lieu vers 19h30/20h et le repas serait expédié en moins d'une heure à coup de sandwiches et de pizzas. Mais aux ELFIC non, on prend le temps de mangeailler tranquille.
Moi, je migre. Démonte le stand, récupère mes gros sacs et monte vers la salle du haut. Car il y a, deux étages au-dessus de la zone de jeu, une pièce dévolue aux parties longues et gérée par les kopaings d'Opale. Ils ont leur stand juste au pied des marches qui mènent à la dite salle. Elle a une belle surface, mais c'est un gros cube tout vide avec un plafond très haut, donc super sonore. Y'a un écho de folie, qui pousse les meneurs à se délocaliser sur la terrasse pour être plus au calme. Moi perso, je préfère me la jouer indoor. Après mon aprème de démos, je suis demi zombie. Bien qu'il fasse plutôt beau dehors, je me connais : si je joue dans le vent, même suréquipé en écharpe et bonnet, sûr et certain que je chope la crève. Et ça, je ne peux pas me le permettre. Le week-end prochain, c'est Geeko. Et Geeko malade, ce serait une torture.
Je récupère la petite table carrée dont personne ne veut (les rôlistes préfèrent les grandes rondes ^^), me pose dessus, kidnappe des chaises et continue à recruter. Ça marche plutôt bien : un Dracula à onze joueurs (ouais, onze !), un Toy Scary à six et, après une petite pause repas en compagnie de Julien et Polo (qui nous a rejoint après son taf), un Grimmies et un autre Toy Scary. Enfin, pour finir la soirée, un dernier Overlord. Julien qui se tâtait pour une partie longue en nuit, y renonce finalement et rentre chez lui. Polo déroule une trilogie Cthulhu DDR en nocturne, avec huit puis neuf joueurs. Moi qui suis rincé de chez lessivé, je vais me pieuter. Dix parties dans la journée, ça crève.
Le lendemain, rebelote. Remontage de stand et démos à gogo. Comme d'hab', pas grand monde en matinée, puis ça se monte tranquille en aprème. Les conditions ne sont pas optimales, mais c'est le lot du jeu dans les événements qui ne sont pas pur rôliste. Dans une conv JdR, tu n'aurais pas toutes les heures des gars qui viennent brailler de toute la force de leurs poumons pour attirer le chaland vers leurs animations, contes et autres tournois médiévaux. Tu n'aurais pas non plus, et ça quand même ce fut bien hardcore, de groupe de musique celtique en concert à huit mètres des tables de démo. J'ai rien contre le violon, le tambourin ou la harpe. Ça fait glong glong et c'est joli. Mais à donf les ballons pendant que je mène, c'est hyper rude. M'a rappelé les pires moments du Monde du Jeu, tiens. Rhâââ Dance Dance Revolution, cette pure engeance ! ^^
Du coup, je re-migre. Abandonne lâchement Polo sur le stand et remonte vers la salle de l'étage, où je me remets à enchaîner les démos sur ma petite table carrée à moi que je l'aime. Au total, six dans la journée. Pas mâââl. Et quand je redescends, je trouve Polo en train de mener un Overlord directement sur le stand. Cet homme est un warrior. Total respect.
Au final, une excellente édition des ELFIC. Plein de démos, de joueurs top sympas (une centaine à ma table quand même), plein de kopaings, de têtes connues, de fatigue aussi. Bon sang, dans le RER du retour, j'étais au radar. Et bien sûr, j'allais les oublier, les fameux Vécés of the dead, un film d'horreur que quand t'es aux chiottes, ça ferme pas et que quand tu te torches, c'est avec des serviettes en papier. Le jeu de rôle est une épreuve de survie, on vous dit.
Les mercis
Merci aux orgas, tous ces jeunes gens habillés en vert, aimables, réactifs et fort serviables.
Merci à Opale pour l'aide au recrutement et la mise à dispo d'une table de repli lorsque sévissaient le cochon et les ziquos celtiques.
Et bien sûr, un super merci à Julien et Polo. Ce fut vraiment supra cool de bosser avec vous durant ce week-end, les gars.
Mon body count
16 parties, 99 joueurs, 74 morts.
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12 démos à Geekopolis – mai 2015 – Paris
photo Christophe Delsart pour Opale
Il ne fait pas encore jour à Philadelphie quand Johan se lève, enfile sont survêt' gris et son 'tit bonnet, gobe deux œufs crus, s'étire puis sort dans la nuit pour son footing matinal. Il court après un train dans le soleil levant, choppe des poulets avec les mains, tape dans des quartiers de bœuf et fait des pompes sur une main. Johan, il a l'œil du tigre. Et heureusement d'ailleurs, parce que c'est un petit poil rude. Le week-end dernier, pas moins de seize démos aux ELFIC, et le mois d'avant, Eclipse et Orc'idée enchaînées. Le premier qui me dit que le JdR c'est pas du sport, je lui balance mon carton de zines à la tronche.
Or donc, Geekopolis troisième du nom, deuxième édition à Porte de Versailles. Toujours aussi fun, toujours aussi jeune, toujours aussi bordélique. Ah non, je mens : les plans sont mieux et y'avait même quelqu'un qui, en dernière minute, y avait collé des pastilles « Vous êtes ici ». Bon, ça ne m'a pas empêché de me perdre deux fois le samedi en revenant des chiottes. Oui parce que les toilettes, y'en avait que deux, et super loin de la Zone de jeux, là où que j'ai enchaîné les parties comme un gros taré.
La deuxième fois que je me puis paumé, ce fut juste épique. Je raconte. Donc je suis sur le Laboratoire du jeu de rôle, parmi tout un tas d'autres meneurs drivés par Opale, et je bois beaucoup. De l'eau, hein. Parce que sinon, je me tue la gorge. Car Geeko est un gros salon bien bruyant, avec une scène et des animations musicales. Par là -dessus, la surface du stand JdR n'est pas énorme eu égard au nombre de tables qu'il abrite. Et elles n'ont bien sûr pas désempli du week-end, colossal succès comme à l'habitude. En clair, y'a grave du brouhaha. Donc je picole pour garder un peu de voix et tenir les deux jours. Mais forcément, quand je bois, je pisse.
Et lĂ , c'est le drame.
Expédition jusqu'aux toilettes. On est samedi, je n'ai pas eu le temps de visiter le salon avant de me mettre à bosser, je découvre. À l'aller, ça va. Je trouve les chiottes sans trop de souci. Au retour par contre, je me perds dans le dédale des allées. Oui parce que dédale, c'est bien le mot. Ça poppe de tous côtés, ça fait des méandres, des tours et des détours. J'ai le tournis. Enfin, je rejoins le Lab.
Un peu plus tard dans l'après-midi, nouvelle expédition pipi. Mais là , j'ai pris des points de repère : le stand mangas Machin, l'expo murale Bidule, tout ça. Rien n'y fait. Johan perdu de chez perdu en plein milieu du salon. Co-mi-que. Je croise une petite troupe d'Opaliens en goguette, qui me donne des indications. Ça marche pas, toujours perdu. Enfin, je tombe sur Julien des Chroniques d'Altaride, qui lui sait où il va. Rhâââ trop bien ! Donc je le suis. Vingt secondes plus tard, on est perdus à deux. É.N.O.R.M.E.
Le dimanche, quand même, ça va mieux. D'une, j'ai compris que l'enseigne Zone de jeux est un piège : positionnée à l'angle de deux allées, elle est parfaitement invisible quand on arrive de côté. Ensuite, j'ai mis au point un système de guidage olfactif : le stand Haribo et ses millions de bonbecs, puis le traiteur asiatique. Et au retour, l'inverse. Pas forcément le chemin le plus court, mais au moins j'arrive à bon port. Bon sang, ces aventures qu'on a dans les salons, quand même...
Côté taf, super cool. Je bosse avec les gens d'Opale et ils assurent grave. Déguisés en laborantins fous, ils me recrutent des joueurs et me les amènent directement à ma table. Royal. De mon côté, j'enchaîne les parties à raison de six par jour du début de l'après-midi à la fermeture. C'est sportif. Le dimanche surtout car je fais autant de parties que la veille avec une heure de moins (le salon ferme plus tôt pour le démontage).
Durant ces deux jours, je n'ai mené que de l'Overlord et du Dracula, mes scénars les mieux adaptés au public de Geeko, qui est hyper mélangé (plein de débutants et de noobs complets, dont pas mal d'ados) et, gros salon oblige, plutôt nombreux : des parties à six, sept, huit et même neuf joueurs (dont un gars debout, y'avait pas assez de chaises !). Absolument éreintant, mais trèèès fun.
Geekopolis c'est bon, mangez-en.
Les mercis
Super merci Ă Opale pour l'invitation, l'orga et le recrutement. Ce fut excellent de bout en bout. Vous roxxxez du poney moldave, les gens.
Spéciale dédicace à Raph et Pacco, qui ont mené mon jeu à leur table. Car oui, je n'étais pas le seul à dérouler du Sombre sur Geekopolis cette année et ça a fait bien chaud à mon petit cœur d'auteur. D'après les stats d'Opale, on totalise à nous trois 122 joueurs en 21 parties sur le week-end. Pas mâââl.
Mon body count
12 parties, 77 joueurs, 62 morts.
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Enfin, je tombe sur Julien des Chroniques d'Altaride
Quand on a pas d'escalier, on tombe oĂą on peut
Johan perdu de chez perdu
Put1! pourtant avec tous les plans que tu fais (et nous fais faire), c'est la honte moi je dis
Dernière modification par DeathAmbre (26 May 2015 21:43)
J'ai participé au "rabattage" durant les deux jours et c'était très agréable. /.../ Cela a été évoqué, le format court et et le thème évocateur de Sombre ont fait mouche, c'est tellement adapté à ce genre de salon. Cela donne envie de s'en inspirer pour inventer d'autres propositions de jeux rapides, pour de prochaines occasions !
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le format court et et le thème évocateur de Sombre ont fait mouche, c'est tellement adapté à ce genre de salon.
Ah merci, ça fait vraiment plaisir à lire.
Cela me fait d'autant plus plaisir que ce n'est pas du tout un hasard : Sombre zéro, la variante speed gaming de Sombre, n'est pas le produit d'une opération du Saint-Esprit rôliste. Elle est pour une bonne part le résultat de mon expérience des gros salons transmédia type Japan ou Geeko, expérience glanée grâce à Opale.
Avant ma première Japan, je n'imaginais pas que Sombre ait sa place dans ce type de manifestations. Bosser avec Opale m'a, sur ce point comme sur bien d'autres, ouvert les yeux.
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Partie jouer le samedi, je comprend pourquoi tu es partie si longtemps aux toilettes :D. Partie avec le scénario Dracula, c’était vraiment sympas et mes amis ont vraiment adorer l'ambiance que tu arrivais a poser. Le principe des "fiche" de personnage simplifié je trouve ça vraiment top, ça permet d'être tout de suite dedans. J’espère pouvoir repasser par ta table bientôt.
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