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[Les Sels de Millevaux] Des albums en écoute gratuite, intégrale et légale sur internet :
Les Sels de Millevaux est un jeu en développement, par Yoann Calamai, où l'on incarne des alchimistes rongés par l'achèvement du grand œuvre au cœur de l'enfer forestier de Millevaux.
Les règles sont inspirées d'Arbre et d'Inflorenza Minima.
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Comptes-rendus et enregistrements de la campagne-test par Thomas Munier
illustration : Balthazar Schwann pour le Philosophia Reformata de Daniel Mylius, domaine public
Peacock Black, par 3rd Ear Expérience, du stoner rock instrumental et psychédélique, transe groovy au cœur de la folie.
Supreme Immortal Art (instrumental), par Abigor, du black metal purement instrumental, pour une ambiance démoniaque, raffinée et épique !
Devotional Hymns, par Aderlating, du black metal indus / torture porn, pour scènes souterraines et messes noires au sein de temples païens.
White Hoarhound, par Alunah, un stoner doom metal à chant féminin scandé, celtique et druidique, une énergie entièrement dédiée à la forêt.
Mass V, par Amenra, post-hardcore incantatoire scandé en l'honneur du Dieu-Corbeau.
The Dynamic Gallery of Thoughts, par ...and Oceans, du black metal orné de claviers de toutes parts, maléfique, mélodique et racé.
La Masquerade Infernale, par Arcturus, du métal avant-gardiste aux croisement entre black metal à chant clair, dark folk et rock progressif, porté par un chant clair en proie au délire grandiloquent, convent de sorciers, millénaire détraqué, nef des fous.
Alunar, par Aureole, du black metal spatial instrumental pour châteaux abandonnés dans le vide.
The Horizontal Gates, par Black Mara, du drone ésotérique dédié au parcours des alchimistes. Hypnotique et labyrinthique.
Summon, par Bloody Panda, messe noire, lyrique et drone, au pinacle de la nuit.
Ultima Thulee, par Blut aus Nord, du pagan metal riche en choeurs hallucinés et en claviers spectraux, odyssée fantômatique, guerriers égarés de plus en plus loin vers l'inconnu.
We are, we were and we will have been, par Bong, drone-ambient à sitar, englobant, rassurant, hypnotique, qui resserre son emprise de plus en plus doucement.
Beyond Ancient Space, par Bong, du psyché-drone ritualiste à sitar, cosmique, cultiste, massif, exotique, un Grand Ancien qui se mord la queue.
Altar, par Boris & SunnO))), le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées
Migration, par Buried At Sea, un mare de goudron drone sludgecore qui se traîne lourdement à l'infini vers la mort.
Passion Rift, par Chowder, du doom metal progressif et instrumental, pour excursions lovecraftiennes en carton-pâte et cauchemars psychédéliques.
S/T, par Compost Golem, 15 minutes de la meilleure lourdeur que puisse offrir le black, le doom, la drone et le noise pour une rencontre avec une entité métaphysique terminale.
Corpo Mente, par Corpo Mente, entre opéra baroque et musique zeuhl, la bande-son d'un conte de Grimm macabre en perruque poudrée
Salvation, par Cult of Luna, un chef-d'oeuvre du post-hardcore, hurlant, introspectif, mélodique, répétitif, infini, révolté, apaisé, marin, souterrain, un rituel de souffrance et d'extase devant la beauté du monde qui meurt.
Aleph At Hallucinatory Mountain, par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.
Malkhut, par Dédale(s), un bourbier de dark ambient bruitiste et texturé, qui s'enfonce dans des territoires de plus en plus ténébreux, humides, caverneux, utérins, vers un abandon de soi et une transe horla habitées de gargouillis, de grognements et de chauves-souris toutes de malignité tressées.
Inns and Villages, par Derek & Brandon Fiechter, il en fallait un, voici un album entièrement dédié aux musiques de taverne !
Marijuana, par Dope Smoker, du stoner rock sous substances et influences sabbathiques, lourd, enfumé, dédaigneux et baveux.
Drowning Horse, par Drowning Horse, du sludge doom psyché caverneux et incantatoire, au fin fond de la terre avec Shub-Niggurath.
Primitive and Deadly, par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.
Rutsu No Hoyo, par Empusae (dark ambient ritualiste)
Sphere from the woods, par Empusae, de l'ambient ritualiste pour un parcours animiste dans la forêt des rêves perdus.
Weiland, par Empyrium, du dark folk en noir et blanc, une sorte de moyen-âge fantasmé par les romantiques allemands, à la recherche d'une lumière dans la forêt.
Tome X, par Erang (dungeon-synth, musique médiévale, dark folk pour un monde de châteaux et de chasses)
Temple of Ancients, par Erdstall (dungeon-synth pour explorations de donjons aussi ténébreux que nostalgiques).
The Maniacal Vale, par Esoteric, du doom metal avec chant caverneux et guitares cristallines, un cycle interminable de réincarnations morbides et sublimées.
Embrace The Emptiness, par Evoken, du funeral doom metal monolithique, aussi rêche que cristallin, une mise en matière du désespoir.
Aokigahara, par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles
Frjee feather EP, par Forest Swords, un post-rock dub psyché et mazouté à souhait !
Violet Dreams, par John Gallow, du heavy doom metal aux relents très seventies, aussi sabbathique dans les riffs que dans la voix, pour tous ceux qui rêvent de messes noires, d'horreur gothique et de sword and sorcery sans le chant rauque qui va presque toujours avec.
Ventre, par G-Nox, entre dark ambient, noise et musique concrète, le son humide des profondeurs intestines et sans âge.
Pentagon Black, par Goliath Bird Eater, du psyché-drone ritualiste assez facile d'écoute, une forêt de boucles en l'honneur de déités sourdes, aveugles et arachnoïdes.
Doomsdayer's Holiday, par Grails, du post-rock oriental, psyché et dronisant, tantôt mélodique, tantôt sombre, tantras d'anciens temples profanés par les racines.
Cursus Impasse: The Pendlomic Vows, par Howls of Ebb, du post-death metal occulte, technique, varié en n'oubliant jamais de rester tendu, pour sabbats horlas déchaînés et massacres au fond des bois où l'on glisse sur les intestins répandus.
Open the Gates of Shambhala, par Huata, du stoner / doom / sludgecore / noise, pour une messe noire fumeuse et baveuse avec des tripes, de la drogue, du sexe et des morts-vivants !
Hugging the Earth, par Hugging, drone strident avec des infra-ondes de cordes, vaste caverne de cauchemars étroits.
Celestial Genealogy, Birth of a Mountain, par Innerborée, à la croisée entre post-rock, black art et doom metal, le mariage du chant de la belle et de la bête dans une nuit montagneuse et lunaire.
Jex Thoth, par Jex Thoth, du stoner doom metal à chant féminin incantatoire, fumeux, charnel et entêtant, une messe de la fertilité.
Time and Space, par Kaosmos, piano au fur et à mesure augmenté de réverb pour la traversée de la désolation.
Chaos is my name, par Khlyst, du drone avec un chant féminin qui navigue entre l'extrême du rauque, du cri et du chuchotement, de la sorcellerie faite musique.
Terraformer, par Knut, du post-hardcore post-apocalyptique de bunker, aussi lointain et noisy que superbement produit et évocateur. Une dystopie en noir et blanc. Un trip aseptisé qui vous emporte trop loin dans les coursives, avec des compagnons seulement à moitié réels.
Hyperion, par Krallice, un black metal spatial et instrumental, lumineux, intense et habité.
Le Mal des Ardents, par La Breiche, un dark folk qui sonne comme un western médiéval et obscurantiste.
S/t, par Les Chants du Hasard, du black metal baroque entièrement joué avec un orchestre de chambre et qui alterne chant choral et hurlements maléfique pour un carnaval morbide de haute noblesse !
Wandervogel des Waldes, par Lord Lovidicus, du dungeon-synth aux accents de folk médiéval, patient, nostalgique et atmosphérique.
Canticles of the Holy Scythe, par Lüüp, de la musique de chambre aux influences dark folk et black metal, un palais occulte et obsédant.
Mare Decendrii, par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.
Be all and end all, par Manes, du death-rock / trip-hop glacé et souterrain, au fin fond des cavernes intimes et peuplées de nos fantômes les plus glacés et promiscuitaires.
S/T, par Martyria, du dark folk horrifique médiéval et oriental, une atmosphère de plomb pour une bataille ou un fléau imminent.
Psychopathia Sexualis- Original Motion Picture Soundtrack, par Paul Mercer, de la musique de chambre pour perfides bals masqués.
Morphogenesis, par Mind Necrosis Factor, electro-ambient oriental, voyage exotique au cœur de l'emprise.
Parasignosis, par Mitochondrion, du post-death metal occulte, rapide, technique, enfumé et caverneux, pour des lendemains de messe noire qui dégénèrent en avènement d'Entités Mythologiques.
Never Forever, par Monarch, du drone-sludgecore assagi, toujours aussi pesant dans les instrus mais marqué par un chant féminin tour à tour éthéré et désespéré, une incantation de sorcellerie qui éventre la nuit.
Arriving Angels, par Helen Money, du violoncelle amplifié, sombre, beau et doom à la fois, l'orée de la forêt entre légèreté et désespoir.
Dolmen Music, par Meredith Monk, chant soprano, choeurs masculins et orchestre de chambre pour une ode destructurée aux frontières de l'apaisement, de la folie et du paganisme.
Anden som Gjorde Oppror, par Mortiis, un grand classique du dungeon synth, médiéval et nostalgique. Riche en ambiances sous un premier abord austère.
The Ties that Blind, par Mouth of the Architect, jamais post-hardcore n'aura sonné plus épique, plus vaste et plus immortel.
Truth Becomes Death, par Nadja, chef d'œuvre du drone musical pour un parcours alchimique absolu, du plus léger au plus lourd.
The Eye of Every Storm, par Neurosis, l'aboutissement du post-hardcore, le calme avant la tempête, un calme pachydermique, extatique, rugueux, sincère et terrifiant, un ours qui lèche ses blessures avant la mort, avant le dernier assaut.
A Given to the Rising, par Neurosis, du post-hardcore sludge et massif, le plus forestier des albums de Neurosis, une chasse morbide vers le secret de l'existence.
Within The Darkness Between The Starlight, par Nhor, entre piano à fleur de peau et black metal atmosphérique, un temple gothique de nature, d'émotions et de ténèbres.
La Haine Primordiale, par Nors'Klh, du dark ambient martial toute de fureur rentrée qui orchestralise la montée en puissance du mal.
Origine(s) part 1, par Nors'Klh (ambient orchestral, lyrique et exotique pour la décadence des grandes civilisations)
Eye-tree-Pi, par Obiat, du stoner metal à chant clair épique, mazouté et hallucinogène, guerrier et contemplatif à la fois, désertique et labyrinthiquement touffu.
Tribute to Krzysztof Penderecki: Passio et mors Domini nostri Jesu Christi secundum Lucam, par Of Darkness, la collision de la musique classique sacrée, du doom et du black metal pour un tableau infernal et hanté.
Pilgrimage, par Om, du doom / folk à chant clair, ritualiste, mystique et cyclique, pour un séjour dans les dédales de la raison et de l'égrégore.
Geisterstadt, par Omega Massif, un post-rock lourd, triste et urbain pour une soirée de fin du monde dans une ville fantôme.
Gran Poder, par Orthodox, du doom metal avec un rare chant clair, entre drone et liturgie, une cloison étouffante pour icônes salies.
V.I.T.R.I.O.L par Pénitence Onirique, du black métal mélodique sur le thème de l’alchimie, atmosphérique et épique !
La imposibilidad de tu nombre, par Peregrino, la dernière ligne de piano quand tout s'arrête.
Swarth, par Portal, du death metal occulte enfumé jusqu'à l'os, charriant le remugle, l'ombre méphitique, frénétique et baveuse de Shub-Niggurath en personne.
Metamorphosphoros, par Precaria, Deathspiral of inherited suffering et Dominus Ira, du black métal occulte et mélodique entièrement tourné vers les concepts alchimiques, pour une transmutation des plus belles et abjectes.
Pyramids, par Pyramids, du black metal étouffé avec un chant clair éthéré, étrange et déstabilisant.
Misanthropic Alchemy, par Ramesses, du stoner doom frontal et chimique pour bouillon de culture occulte !
Circular Time, par Ramleh, du post-rock / noise / americana / psyché-drone / power electronics chamanique et intense et circulaire et lourd et ensorcelé.
Exilé, par Regarde les Hommes Tomber, du metal noir / screamo qui dépeint la toile du Jugement Dernier.
Steve Reich : Drumming, par So Percussion, une pièce de percussions sur une partition minimaliste, un parcours dans des villages, des maisons et des labyrinthes de bois circulaire, hypnotique, interminable.
Primal Sphere, par Robedoor. Entre psyché-drone et power electronics, une messe noire à la recherche de l’antimatière.
Imihs, par Shelving, post-rock aux influences kraut, une aventure au bout de la nuit, au bout des rêves, au bout des montagnes.
The Witch Hammer, par Shinjuku Thief, un dark ambient orchestral et gothique pour châteaux hantés, forêts maudites et spectres livides.
Tristan Perish : Surface Plane, par Vicky Show : du piano minimaliste et funambule, comme une araignée sur la rosée.
Dopesmoker, par Sleep, un monument du stoner doom metal, caravane processionnaire des mangeurs de lotus au cœur d'un pèlerinage halluciné de lourdeur.
Never were the way she was, par Colin Stetson & Sarah Neufeld. Un sax, un violon, un domaine forestier étrange, immersif, total.
Almost Invisible, par Subarachnoid Space, le pinacle du psyché-drone pour l'exploration infinie d'un temple sonique voué au dieu du mescal.
More Constant than the Gods, par Subrosa, un doom metal aux accents stoner et à la production claire, emmené par un chant féminin hypnotique, pour les soirs de tristesse et de batailles incantatoires, lourdes, narcotiques et triomphantes.
The Pomegranate Cycle, par Textile Audio, un opéra intimiste et contemporain, série de vies croisées tragiques et quotidiennes, fragiles comme des biches, dont la nature est témoin.
Grote Mandrenke, par Troum, de l'ambient orchestral et drone, spectral, caverneux, infini et introspectif.
Symballein, par Troum, l'ambient drone d'un monde spectral, ou voix, atmosphères, terre et mer se confondent dans un flou lointain.
Snailking, par Ufomammut, du stoner doom metal, psychédélique, électro et bruitiste, une spirale de décantation dans les bras graisseux de l'infini Roi Ver.
Svidd Neger OST, par Ulver, du sympho-electro-jazz pour une longue conversation avec la nuit.
The Black Flux, par Virus, entre black metal à chant clair sous zéro absolu, post-punk solidifié et jazz martial, une longue incantation nihiliste et raffinée qui traverse la moelle.
Eating or Vomiting Its Tail, par Johan G. Winther, entre power electronics, drone et americana, de plus en plus loin en perdition volontaire parmi les arbres, en communion avec les esprits et les monstres, les cycles se répètent.
Celestite, par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.
Come the Thaw, par Worm Ouroboros, musique gothique avec guitares tantôt classiques tantôt doom, autour du chant fragile d'une biche qui n'en finit pas d'attendre le dégel.
Ausserwelt, par Year of No Light, départ pour l'île des morts à bord d'un post-hardcore sans parole.
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