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Thomas Munier

un jeu par mois, tranquille

Inscription : 05 Feb 2008

Playlist Marchebranche

[Marchebranche] Des albums en écoute gratuite sur internet :

Lien vers la playlist aléatoire

Are their roots still alive ?, par 13 dead trees, du folk progressif mélancolique pour chansons de veillée et espoirs de forêts.

Diminution, par Leila Abdul-Rauf, un jazz de chambre lunaire, profond et unique pour des forêts hantées par des fantômes vides.

Liminoid Lifeforms, par Aidan Baker, ambient, post-rock et orchestre de chambre pour une nuit sans lune, sans fin et sans but sous la caresse des branches.

The Lunar Lexicon, par Aindulmedir, un très beau dungeon synth venu du froid avec des orchestrations nuancées qui nous entraînera de châteaux glaciaux en bois enneigés.

Souvenirs d'un Autre Monde, par Alcest, l'élan vital du black metal dans une post-pop éthérée, ode vibrante à la nature et à l'enfance.

Mei-Jyu, par Alio Die et Jack or Jive, ambient ritualiste pour clairières, sources et fantômes.

Warrior, par Anilah, du chant féminin rituel et tribal inspiré des cultures natives d'Amérique du Nord. Apaisant et hypnotique.

Dreams of the Sylvan Elves, par Arathgoth, un mélange entre dungeon synth et fantasy folk instrumental qui vous plongera au cœur de la forêt de la Lorien.

Fortress of the Sun, par Arborea. Du post-folk où un couple se répond de rêve en rêve, de reflet en reflet entre les branches et les chevauchées dans le soleil couchant.

La Masquerade Infernale, par Arcturus, du métal avant-gardiste aux croisement entre black metal à chant clair, dark folk et rock progressif, porté par un chant clair en proie au délire grandiloquent, convent de sorciers, millénaire détraqué, nef des fous.

Les Orphelines, par Ardente. Le meilleur du black metal instrumental pour une épopée du cœur en rouge et noir.

Forteresse & Maléfices par Artuan de Lierrée, un album de dungeon-synth puissamment médiéval pour un donjon tout en nostalgie

The Untold, par Atrium Carceri, du dark ambient mélodique pour une exploration de ruines mystiques qui cachent de lourds secrets.

Alunar, par Aureole, du black metal spatial instrumental pour châteaux abandonnés dans le vide.

s/t par Bacchantes, du rock folklorique avec des chœurs féminins francophones wiccans, pour un convent libérateur.

Arrow and Orb, par Bad Braids, un chant féminin folk, intime et wiccan.

Ancestral Star, par Barn Owl, de l’americana-drone des plus psychédéliques, pour un égarement lumineux dans les strates du monde.

Lost in the glare, par Barn Owl, l’étrangeté d’un monde qui se dissout dans le psyché-drone cristallin.

V, par Barn Owl, du drone ambient psychédélique comme une ruine à fleur de peau qui cache des éveils de fantômes en extase.

Tunnels & Treasures, par Basic Dungeon. Du dungeon synth très à l’ancienne, avec des chip tunes issus du Commodore 64, pour une exploration furieusement rétro et vidéoludique.

   
Ardor, par Big Brave, un post-hardcore aux drones aussi profonds que mélodiques, avec un chant féminin rituel et poignant, pour se traîner jusqu’au bout de la nuit.

Rivers & Shores, par Black Hill & heklAa, un post-rock mâtiné de piano et de musique de chambre, fait de torrents, de lacs, de rivières et de montagnes couvertes de forêts. Contemplatif et crépusculaire.

Black Goat of the Woods, par Black Moutain Transmitter, entre synthés à la Carpenter, musique de giallo et dark ambient, une promenade en forêt où la tension ne redescend jamais.

Midnight Flower, par Katharine Blake, du chant féminin heavenly et médiéval, pour une clairière féérique, un calme avant la tempête.

Sligo, par Blinkhorn, de la musique électronique toute en field recordings et en claviers, pour se perdre avec extase dans les sentes d’une forêt bénéfique.

We are, we were and we will have been, par Bong, drone-ambient à sitar, englobant, rassurant, hypnotique, qui resserre son emprise de plus en plus doucement.

Altar, par Boris & SunnO))), le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées.

Devoured By The Oak par Cân Bardd, un folk black metal sylvestre et épique à fleur de peau.

The Sword Becomes A Shield (Symphony Number 1), par Michael Cashmore, de la musique de chambre sous forme de parcours initiatique dans une forêt de songe et d’oubli.

Cathédrale de Strasbourg, par Charlemagne Palestine. Le bourdon de l’orgue est sculpté pour devenir une cathédrale de son, édifice d’un rêve éveillé, étrange et magnétique.

Seelie, par Clann, de la musique féerique au chant féminin sussuré aux accents electro/trip-hop/folktronica, entre tragédie, tendresse et mélancolie.

Surrender par Cloven. Un album instrumentale de guitare sèche aux tonalités folk et crépusculaires, tapisserie de maison hantée et de mémoire qui se délite.

Corpo Mente, par Corpo Mente, entre opéra baroque et musique zeuhl, la bande-son d'un conte de Grimm macabre en perruque poudrée

Salvation, par Cult of Luna, un chef-d'oeuvre du post-hardcore, hurlant, introspectif, mélodique, répétitif, infini, révolté, apaisé, marin, souterrain, un rituel de souffrance et d'extase devant la beauté du monde qui meurt.

Aleph At Hallucinatory Mountain, par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.

A World of Shadows, par Dame Silú de Mordomoire, du dungeon synth avec un chant féminin éthéré pour se perdre à jamais dans la forêt des elfes noirs un beau et glacial matin d’hiver.

Métal, par Dark Sanctuary, du métal orchestral et gothique avec un chant féminin d’opéra pour une épopée forestière poignante.

Cantus, Descant, par Sarah Davachi. Une messe forestière magnifiée par des orgues éthérés.

Autumnal Wandering, par Day Before Us, un dark folk doucereux et ourlé de piano avec un chant murmuré en allemand dans la veine des romantiques du 19ème siècle

Nektyr, par Demen, un chef-d’œuvre de la doom pop où une voix féminine éthérée parcourt des étendues de ruines à la beauté et à la solitude sans pareille, servis par une musique aussi caverneuse que majestueuse.

Mourning, par Depressive Silence, un chef-d’œuvre du dungeon synth empli de majesté et de mystère.

Une belle journée, par Nicolas Dick, de l'ambient riches en nappes, en bourdons et en élégies, un long assouplissement d'un seul et même monde dans son dernier soupir.

B.O. du jeu vidéo Hyperlight Drifter, par Disasterpeace, de l’électro lo-fi introspective, planante et inquiétante pour des ambiances aussi belles qu’old school.

Wezen, par Alicia Ducout & autres, du folktronica médiéval entre harpes, pianos et chant elfique.

Primitive and Deadly, par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.

Phoenix: La Petite Mort Édition, par Eartheater, de l’ambient avec des vocaux féminins éthérés et méconnaissables pour une escapade onirique à n’en plus finir.

L’Âtre et l’enfant, par Edinbourg of the seven seas, une guitare folk sans voix pour des forêts mystiques à habiter vous-même.

A dark forgotten past, par Eldamar, du black metal atmosphérique avec un chant féminin extatique couvrant un chant black en bruit de fond, pour une traversée épique des forêts de Fangorn à la Lorien.

Forgenoir, par ElixiR. Cette pièce de dungeon synth est une ode médiévale toute en nostalgie.

Between Trees & Starlike par Embertides, la synthèse entre musique heavenly et dark ambient, pour un conte de fées qui dérange.

Rutsu No Hoyo, par Empusae (dark ambient ritualiste)

Sphere from the woods, par Empusae, de l'ambient ritualiste pour un parcours animiste dans la forêt des rêves perdus.

Weiland, par Empyrium, du dark folk en noir et blanc, une sorte de moyen-âge fantasmé par les romantiques allemands, à la recherche d'une lumière dans la forêt.

Arpitanian Lands, par Enisum, du post-black metal des montagnes, animiste et sincère, qui n'oublie jamais d'être intense ou rauque

Tome X, par Erang (dungeon-synth, musique médiévale, dark folk pour un monde de châteaux et de chasses)

Temple of Ancients, par Erdstall (dungeon-synth pour explorations de donjons aussi ténébreux que nostalgiques).

Triadic Memories, par Morton Feldman, un long piano humide et profond qui s’égare dans sa propre mémoire.

Inns and Villages, par Derek & Brandon Fiechter, il en fallait un, voici un album entièrement dédié aux musiques de taverne !

Forest of Secrets, par Derek & Brandon Fiechter, voyages paisibles et pèlerinages enjoués dans une forêt lumineuse et féérique.

Aokigahara, par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles.

Flykt, par Forndom, du dark folk éthéré et paganiste au cœur des forêts glaciales du Grand Nord.

Forest Music Collection Vol. 1, par Michael Ghelfi, de l’ambiant sympho pour forêts apaisées et contemplatives

Death will someday set you free, par Ghostly Graves, du folk occulte pour western fantôme.

Pentagon Black, par Goliath Bird Eater, du psyché-drone ritualiste assez facile d'écoute, une forêt de boucles en l'honneur de déités sourdes, aveugles et arachnoïdes.

Goëtia, par Peter Gundry, musique de chambre dark folk médiévale avec de beaux choeurs en latin pour une magie noire feutrée.

Fallow Fields, par Harrow, au croisement entre Ennio Morriconne, le post-rock et le folk black metal, une épopée mélodique et lointaine.

Lashing the Rye, par Harvestman, americana dépressive, sur la superstition paysanne et la grandeur des espaces confinés.

Trinity, par Harvestman. Du folk psychédélique sans parole au cœur des labyrinthes de la forêt et de l’âme.

~, par Iamthemorning, voix féminine, piano-cordes, le calme avant la tempête, et des nœuds de tempête au milieu du calme.

Zugzwang for Fostex, par Ian William Craig, de l'ambient bruitiste minimaliste avec un son qui part en miette, entre piano éthéré, rêve éveillé et voie ferrée abandonnée.

Den Hellige Skogs Hemmeligheter, par Im Dunkeln, un black metal païen de plus en plus atmosphérique et instrumental, tout ce qui reste des siècles après, les arbres et les mégalithes comme seuls témoins d'une époque de folie, où empires et hordes se détruisirent mutuellement.

Celestial Genealogy, Birth of a Mountain, par Innerborée, à la croisée entre post-rock, black art et doom metal, le mariage du chant de la belle et de la bête dans une nuit montagneuse et lunaire.

The Vanishing, par Insect Ark. Le plus horrifique des albums de post-rock .

De Dreit Nien, par Jéricho, de la musique folklorique intense pour des forêts habitées du sang de ceux et celles qui les content.

Jex Thoth, par Jex Thoth, du stoner doom metal à chant féminin incantatoire, fumeux, charnel et entêtant, une messe de la fertilité.

Hyperion, par Krallice, un black metal spatial et instrumental, lumineux, intense et habité.

s/t par Kallista Kult, une forêt de bruitages où plane une voix féminine fantômatique.

Between the Earth and Sky, par Lankum, du folk irlandais entre terre et forêt, entre les légendes et le plancher des vaches, entre la beauté et l’ordinaire.

Lisieux, par Lisieux, du néo-folk, une guitare entêtante, un chant féminin vaporeux, la forêt qui se referme sur elle. Bienveillante... ou non ?

Gramarye, par Lotus Thief, un album mélangeant musique métal cristalline et chant féminin heavenly incantatoire : une ancienne messe païenne.

   
Deeper Woods, par Sarah Louise, du psych-folk d’une belle intensité, une expédition au cœur de la forêt en compagnies des dames qui l’habitent.

Wandervogel des Waldes, par Lord Lovidicus, du dungeon-synth aux accents de folk médiéval, patient, nostalgique et atmosphérique.

The Sleeping Green, par Lunar Womb. Une vignette figée dans le temps d’une époque chevaleresque et folklorique à travers un dungeon synth aux instrumentaux très présents.

Cast of Mind, par Kali Malone. Un drone extatique, un orgue endormi qui vous rêves à travers des tunnels de branchages interminables.

Mare Decendrii, par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.

Fable Under The Table, par Filip Melvan. Une autre compilation de musique de taverne ! Pour une deuxième tournée !

Landscape of Descent, par David D. McIntire, du drone ambient entre caverne, pluie et bois, la musique intime de la forêt.

Morphogenesis, par Mind Necrosis Factor, electro-ambient oriental, voyage exotique au cœur de l'emprise.

Dioxydes, par Mlada Fronta, entre électro minimaliste et post-indus, une excursion hypnotique dans les cités et contrées fantômes désolées où toute vie a abdiqué.

Arriving Angels, par Helen Money, du violoncelle amplifié, sombre, beau et doom à la fois, l'orée de la forêt entre légèreté et désespoir.

Dolmen Music, par Meredith Monk, chant soprano, choeurs masculins et orchestre de chambre pour une ode destructurée aux frontières de l'apaisement, de la folie et du paganisme.

Rays of Darkness, par Mono, du post-rock quintessenciel qui migre à fleur de peau du climax émo vers une noirceur screamo et un final noisy, la métaphore des graines de ténèbres où germent, éclosent, vibrent et meurent des êtres en perdition.

The River EP, par MonumentuM, du coldwave scandé et transi, entre baptême païen et noyades répétitives.

Anden som Gjorde Oppror, par Mortiis, un grand classique du dungeon synth, médiéval et nostalgique. Riche en ambiances sous un premier abord austère.

The Song of a Long Forgotten Ghost, par Mortiis, un classique du dungeon synth, long morceau de bravoure solennel et médiéval.

Folkesang, par Myrkur, de la musique folk scandinave avec un chant féminin cristallin, entre mélancolie et féérie.

S/T, par Myrkur, du black métal avec un chant féminin cristallin et nordique, une élégie qui souffle le froid et la glace.

Spine, par Myrkur, du folk metal avec une voix féminine féerique, quand s’allie le feu et la glace, les ténèbres et l’or.

Palingenesis, par Nebelung, du dark folk toute en mélancolie pour une ode à la nature aux accents de sanglots.

Within The Darkness Between The Starlight, par Nhor, entre piano à fleur de peau et black metal atmosphérique, un temple gothique de nature, d'émotions et de ténèbres.

Wildflowers, par Nhor, un piano solitaire pour égrainer la tristesse qui ne se tarit jamais malgré le passage des saisons.

Origine(s) part 1, par Nors'Klh (ambient orchestral, lyrique et exotique pour la décadence des grandes civilisations)

What has become of the one i love ?, par Not, du post-americana lunaire et lo-fi pour un feu de camp introspectif à l'infini.

Primeval Forest Hymns, par Nubiferous, du dark folk instrumental rythmé par les cors, les percussions tribales et les sons de la forêt, inquiétant, englobant et authentique.

Courses, par Ô Paon, de la post-pop désincarnée avec un chant féminin en français, juvénile, gracile, confinant à l'abstrait, histoires tristes, belles et sans fil de notre monde qui part à vau-l'eau.

Phillharmonics, par Agnes Obel, un piano-voix pour chanter les derniers et les plus fragiles des grands espaces, et les histoires minuscules qui s'y tapissent.

Selected Organ Works, par øjeRum, un orgue soliloque pour une ambiance de recueillement, de solitude et de pluie.

Ladoga, par Olhava, du black metal atmosphérique à la croisée du post-rock pour une charge émotionnelle à l’occasion de la dernière chasse sauvage.

Pilgrimage, par Om, du doom / folk à chant clair, ritualiste, mystique et cyclique, pour un séjour dans les dédales de la raison et de l'égrégore.

Geisterstadt, par Omega Massif, un post-rock lourd, triste et urbain pour une soirée de fin du monde dans une ville fantôme.

Avant le silence, par Orbes, une nappe d’orgues spectrale à n’en plus finir.

Midvintersagor, par Örnatorpet, du dungeon-synth avec château, princesse captive, légendes oubliées et armées noires.

Nordlige Rúnaskog, par Osi and the Jupiter, du forest folk tout en cordes, en chants éthérés nordiques et en piano, pour une odyssée intimiste et sauvage.

À l’ombre du royaume en cendres, par Oublieth, un dungeon-synth majestueux et épique pour l’entrée dans les derniers mondes inexplorés.

Dreaming in earth, dissolving in light, par Oureboros, du dark-ambient/electro entre ombre et lumière, soleil vert et humidité.

The silence in our throats will beckon the thaw, par Pelican, un album-monument de post-rock lesté de plomb et pourtant en perpétuelle ascension, un trip sous acide mystique.

Morgana, par Pendragon, une dungeon synth féérique, fragile, belle et vénéneuse.

La imposibilidad de tu nombre, par Peregrino, la dernière ligne de piano quand tout s'arrête.

Sugar Wingshiver, par Polly Fae, de la musique heavenly avec un chant féminin éthéré pour rejoindre les fées à la cour d'Obéron.

A Sigur Rós tribute, par Project Múkk, un instant de grâce entre folk, electro et post-rock.

Pyramids, par Pyramids, du black metal étouffé avec un chant clair éthéré, étrange et déstabilisant.

Veiled in Flora, par Quercus Alba, de la musique de chambre toute en cordes pincées pour le dernier printemps avant la fin des temps.

Tactile Ground, par Robert Rich, de l’ambiant microtonal pour un monde du silence riche d’une vie aussi apaisante qu’angoissante.

Lïan, par Rïcïnn, un chant féminin baroque pour la chute de tous les fantômes de l’opéra.

The rain that falls alone, par Sadness. Du blackgaze tout en atmosphère de tristesse et de brume, porté par des claviers mélancoliques et de rares cris éthérés.

So Numb, par Sannhet, du post-rock gothique et minéral pour lendemains qui pleurent et champs de ruines en mouvement.

Bells, par Hiroki Sasajima, de l'ambient pour feu de camp, confidences et rêves éveillés, à base de bourdons et de field recordings, au final intersidéral.

Imihs, par Shelving, post-rock aux influences kraut, une aventure au bout de la nuit, au bout des rêves, au bout des montagnes.

Outcrops, par Spaceship, de l’ambient planante des grands espaces tout en orgues qui se sature au fur et à mesure, comme envahie par la forêt.

Mirrors & Tides, Shivers & Voids par The Stargazer's Assistant, de la musique cinématique pour ambiance de giallo à la cour des grands sur fond de délire narcotique.

The Witch Hammer, par Shinjuku Thief, un dark ambient orchestral et gothique pour châteaux hantés, forêts maudites et spectres livides.

Tristan Perish : Surface Plane, par Vicky Show : du piano minimaliste et funambule, comme une araignée sur la rosée.

An Eternity of Solitude, par Sorrow Plagues, du black metal dépressif et shoegaze, avec un piano cristallin et un chant black éthéré et lointain, un souffle atmosphérique et forestier.

Steve Reich : Drumming, par So Percussion, une pièce de percussions sur une partition minimaliste, un parcours dans des villages, des maisons et des labyrinthes de bois circulaire, hypnotique, interminable.

Never were the way she was, par Colin Stetson & Sarah Neufeld. Un sax, un violon, un domaine forestier étrange, immersif, total.

Almost Invisible, par Subarachnoid Space, le pinacle du psyché-drone pour l'exploration infinie d'un temple sonique voué au dieu du mescal.

More Constant than the Gods, par Subrosa, un doom metal aux accents stoner et à la production claire, emmené par un chant féminin hypnotique, pour les soirs de tristesse et de batailles incantatoires, lourdes, narcotiques et triomphantes.

Tales under the Oak, par Swamp Kingdom. Humide, poétique et profonde session de dungeon synth à la production impeccable. Le marais des temps anciens devient la plus grande des forêts.

   
Auk / Blood par Tanya Tagaq, entre chant inuit chamanique revisité et violons à fleur de peau, entre l’émerveillement et la terreur.

Weighing souls with sand, par The Angelic Process, du black metal / shoegaze à chant clair, violent, beau et triste à la fois.

Maar, par The Evptoria Report, la face apaisée du post-rock, une traversée en douceur de couches et de couches de mélancolie et de rêves.

Wood Witch, par The Hare and the Moon, du folk médiéval hanté avec des ambiances musicales très immersives et un chant féminin qui rappelle les légendes des tapisseries des salles de banquet.

Through Darkness and Light, par The Hourglass, du metal symphonique et électronique avec un chant féminin soprano irréprochable, pour climax épiques et montées en puissance héroïques.

The Pomegranate Cycle, par Textile Audio, un opéra intimiste et contemporain, série de vies croisées tragiques et quotidiennes, fragiles comme des biches, dont la nature est témoin.

Menhir, par Thurnin, du dark folk mélodique et inspiré pour résurgence des anciennes émotions païennes.

Internal Flight 2013 (guitar version), par Estas Tonne, de la guitare sèche en mode ambiant drone, légère et pesante comme l’égrégore dans la forêt limbique, une errance introspective dans une americana aussi belle qu’inquiétante.

II, par Toundra, post-rock épique et forestier.

Grote Mandrenke, par Troum, de l'ambient orchestral et drone, spectral, caverneux, infini et introspectif.

Symballein, par Troum, l'ambient drone d'un monde spectral, ou voix, atmosphères, terre et mer se confondent dans un flou lointain.

Won, par Lina Tullgren, du folk-americana avec un chant féminin et des cordes profondément mélancoliques avec un je-ne-sais-quoi de souffle épique en arrière-plan.

Svidd Neger OST, par Ulver, du sympho-electro-jazz pour une longue conversation avec la nuit.

The Hunt, par Ulvesang, un dark folk tout de guitares sèches tendus, un voyage initiatique d’une grande majesté où dort une sombre menace.

Forest, par Utred. Chevalerie, oliphants et épopée forestière pour ce dungeon-synth tout en moyen-âge.

Singing from the grave, par Anna von Hausswolf, entre folk rurale et piano intemporel, une chanson sans âge.

Ceremony, par Anna von Hausswolf, orgue et guitares à fleur de drone, chant féminin folk comme perdu dans la tourmente, beau et dur comme le jugement dernier.

All Thoughts Fly par Anna von Hausswolff, une œuvre toute végétale entièrement jouée à l’orgue, entre extase et angoisse, entre intime et épopée

A Grave is a Grim Horse, par Steve Von Till, de l'americana forestière et résignée, les confessions d'un bûcheron perdu à jamais.

Revenant, par Widow’s Weeds, de la musique heavenly pour rêver dans une forêt féérique où plane une sourde menace.

S/T par Winslow, de l’americana mélancolique, belle et inquiétante pour un voyage dans des bivouacs de lourds souvenirs.

Waldeinsamkeit I-III par Winterblood, un dungeon synth comme pétrifié dans le temps et le froid. 

Hypnos / Flame, par Chelsea Wolfe. Une mélopée lynchienne aussi suave que fantomatique, aussi belle que flippante, entre pop, folk et gothique qui se seraient mélangés jusqu’à l’ivresse.

Celestite, par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.

Come the Thaw, par Worm Ouroboros, musique gothique avec guitares tantôt classiques tantôt doom, autour du chant fragile d'une biche qui n'en finit pas d'attendre le dégel.

Ausserwelt, par Year of No Light, départ pour l'île des morts à bord d'un post-hardcore sans parole.

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Auteur de Millevaux.
Outsider. Énergie créative. Univers artisanaux.
Ma page Tipee.