Le forum officiel de SOMBRE
Terres Etranges

Sombre Cthulhu DDR Millevaux Hotline Inviter Johan Scipion Conseils d'achat Tipeee Patreon

Vous n'êtes pas identifié(e).

Annonce

#1 30 May 2017 14:02

Thomas Munier
un jeu par mois, tranquille
Inscription : 05 Feb 2008

Playlist Les Sels de Millevaux

[Les Sels de Millevaux] Des albums en écoute gratuite, intégrale et légale sur internet :

Les Sels de Millevaux est un jeu en développement, par Yoann Calamai, où l'on incarne des alchimistes rongés par l'achèvement du grand œuvre au cœur de l'enfer forestier de Millevaux.
Les règles sont inspirées d'Arbre et d'Inflorenza Minima.
Télécharger la version bêta
Comptes-rendus et enregistrements de la campagne-test par Thomas Munier

27444108740_79679c81e0.jpg
illustration : Balthazar Schwann pour le Philosophia Reformata de Daniel Mylius, domaine public


24960344380_5019deae85_o.jpg
Peacock Black, par 3rd Ear Expérience, du stoner rock instrumental et psychédélique, transe groovy au cœur de la folie.

25857878525_9f9efc00fb_o.jpg
Supreme Immortal Art (instrumental), par Abigor, du black metal purement instrumental, pour une ambiance démoniaque, raffinée et épique !

24623689833_1a069e9cea_o.jpg
Devotional Hymns, par Aderlating, du black metal indus / torture porn, pour scènes souterraines et messes noires au sein de temples païens.

24565312843_8a9e4f4f14_o.jpg
White Hoarhound, par Alunah, un stoner doom metal à chant féminin scandé, celtique et druidique, une énergie entièrement dédiée à la forêt.

24843519871_9bbe6e6d5c_o.jpg
Mass V, par Amenra, post-hardcore incantatoire scandé en l'honneur du Dieu-Corbeau.

26429693952_20d1ded31b_o.jpg
The Dynamic Gallery of Thoughts, par ...and Oceans, du black metal orné de claviers de toutes parts, maléfique, mélodique et racé.

26543675495_0fd6f3e389_o.jpg
La Masquerade Infernale, par Arcturus, du métal avant-gardiste aux croisement entre black metal à chant clair, dark folk et rock progressif, porté par un chant clair en proie au délire grandiloquent, convent de sorciers, millénaire détraqué, nef des fous.

24882821159_96a0324b80_o.jpg
Alunar, par Aureole, du black metal spatial instrumental pour châteaux abandonnés dans le vide.

50827672498_e64b69ae4a_o.jpg
The Horizontal Gates, par Black Mara, du drone ésotérique dédié au parcours des alchimistes. Hypnotique et labyrinthique.

24569219249_66e04e9679_o.jpg
Summon, par Bloody Panda, messe noire, lyrique et drone, au pinacle de la nuit.

25857878645_45681830e0_o.jpg
Ultima Thulee, par Blut aus Nord, du pagan metal riche en choeurs hallucinés et en claviers spectraux, odyssée fantômatique, guerriers égarés de plus en plus loin vers l'inconnu.

26522012625_5a9e86d99b_o.jpg
We are, we were and we will have been, par Bong, drone-ambient à sitar, englobant, rassurant, hypnotique, qui resserre son emprise de plus en plus doucement.

26455922801_4871eef24f_o.jpg
Beyond Ancient Space, par Bong, du psyché-drone ritualiste à sitar, cosmique, cultiste, massif, exotique, un Grand Ancien qui se mord la queue.

26458399981_45a1d424ab_o.jpg
Altar, par Boris & SunnO))), le meilleur du drone, de la noise et de l'americana pour une transe rituelle et mélodique, entre climax de pyramide maudite et prières apaisées

25224221236_1757420647_o.jpg
Migration, par Buried At Sea, un mare de goudron drone sludgecore qui se traîne lourdement à l'infini vers la mort.

25938692814_149cffe94e_o.jpg
Passion Rift, par Chowder, du doom metal progressif et instrumental, pour excursions lovecraftiennes en carton-pâte et cauchemars psychédéliques.

34409996906_59e8a7d08d_o.jpg
S/T, par Compost Golem, 15 minutes de la meilleure lourdeur que puisse offrir le black, le doom, la drone et le noise pour une rencontre avec une entité métaphysique terminale.

25157708621_76e3617727_q.jpg
Corpo Mente, par Corpo Mente, entre opéra baroque et musique zeuhl, la bande-son d'un conte de Grimm macabre en perruque poudrée

25938692454_7539c6025f_o.jpg
Salvation, par Cult of Luna, un chef-d'oeuvre du post-hardcore, hurlant, introspectif, mélodique, répétitif, infini, révolté, apaisé, marin, souterrain, un rituel de souffrance et d'extase devant la beauté du monde qui meurt.

26543675855_77d5f91ed0_o.jpg
Aleph At Hallucinatory Mountain, par Current 93, du rock / americana / dark folk au chant hypnotique et rêveur pour un enfoncement ésotérique et circulaire dans un monde occulte et alchimique très personnel.

25857878275_53f27c5ecc_o.jpg
Malkhut, par Dédale(s), un bourbier de dark ambient bruitiste et texturé, qui s'enfonce dans des territoires de plus en plus ténébreux, humides, caverneux, utérins, vers un abandon de soi et une transe horla habitées de gargouillis, de grognements et de chauves-souris toutes de malignité tressées.

24872096183_637fccd14f_o.jpg
Inns and Villages, par Derek & Brandon Fiechter, il en fallait un, voici un album entièrement dédié aux musiques de taverne !

25857877965_d2485b54d0_o.jpg
Marijuana, par Dope Smoker, du stoner rock sous substances et influences sabbathiques, lourd, enfumé, dédaigneux et baveux.

25250940135_d94da65242_o.jpg
Drowning Horse, par Drowning Horse, du sludge doom psyché caverneux et incantatoire, au fin fond de la terre avec Shub-Niggurath.

24326535033_e690fa41d8_o.jpg
Primitive and Deadly, par Earth, americana-psyché-drone, aventure sous mescal dans une nature hallucinée.

22694807258_6cc9eeee97_o.jpg
Rutsu No Hoyo, par Empusae (dark ambient ritualiste)

25073845612_3d20a37a93_o.jpg
Sphere from the woods, par Empusae, de l'ambient ritualiste pour un parcours animiste dans la forêt des rêves perdus.

25941222473_82736b45f5_o.jpg
Weiland, par Empyrium, du dark folk en noir et blanc, une sorte de moyen-âge fantasmé par les romantiques allemands, à la recherche d'une lumière dans la forêt.

24548656099_ee6c909578_o.jpg
Tome X, par Erang (dungeon-synth, musique médiévale, dark folk pour un monde de châteaux et de chasses)

24822926771_f0838358ee_o.jpg
Temple of Ancients, par Erdstall (dungeon-synth pour explorations de donjons aussi ténébreux que nostalgiques).

25921609043_05bdcb4693_o.jpg
The Maniacal Vale, par Esoteric, du doom metal avec chant caverneux et guitares cristallines, un cycle interminable de réincarnations morbides et sublimées.

24561445484_83c20debe1_o.jpg
Embrace The Emptiness, par Evoken, du funeral doom metal monolithique, aussi rêche que cristallin, une mise en matière du désespoir.

23087291246_c10a08226c_o.jpg
Aokigahara, par Flowers for Bodysnatchers, dark ambient forestier à pianos fragiles

24561455984_761819a5be_o.jpg
Frjee feather EP, par Forest Swords, un post-rock dub psyché et mazouté à souhait !

26477597321_3ddc5b8a60_o.jpg
Violet Dreams, par John Gallow, du heavy doom metal aux relents très seventies, aussi sabbathique dans les riffs que dans la voix, pour tous ceux qui rêvent de messes noires, d'horreur gothique et de sword and sorcery sans le chant rauque qui va presque toujours avec.

27688870881_e8a8481187_q.jpg
Ventre, par G-Nox, entre dark ambient, noise et musique concrète, le son humide des profondeurs intestines et sans âge.

26270796790_865ceb9fd7_o.jpg
Pentagon Black, par Goliath Bird Eater, du psyché-drone ritualiste assez facile d'écoute, une forêt de boucles en l'honneur de déités sourdes, aveugles et arachnoïdes.

29457859924_10b7bb0fb6_q.jpg
Doomsdayer's Holiday, par Grails, du post-rock oriental, psyché et dronisant, tantôt mélodique, tantôt sombre, tantras d'anciens temples profanés par les racines.

26517680966_c8e94e01bb_o.jpg
Cursus Impasse: The Pendlomic Vows, par Howls of Ebb, du post-death metal occulte, technique, varié en n'oubliant jamais de rester tendu, pour sabbats horlas déchaînés et massacres au fond des bois où l'on glisse sur les intestins répandus.

24872097043_0c886f5946_o.jpg
Open the Gates of Shambhala, par Huata, du stoner / doom / sludgecore / noise, pour une messe noire fumeuse et baveuse avec des tripes, de la drogue, du sexe et des morts-vivants !

25192118015_1509acb84d_o.jpg
Hugging the Earth, par Hugging, drone strident avec des infra-ondes de cordes, vaste caverne de cauchemars étroits.

26467577902_54f194b62b_q.jpg
Celestial Genealogy, Birth of a Mountain, par Innerborée, à la croisée entre post-rock, black art et doom metal, le mariage du chant de la belle et de la bête dans une nuit montagneuse et lunaire.

25472696556_d5018a8796_o.jpg
Jex Thoth, par Jex Thoth, du stoner doom metal à chant féminin incantatoire, fumeux, charnel et entêtant, une messe de la fertilité.

30881520444_0f88bd0b1d_q.jpg
Time and Space, par Kaosmos, piano au fur et à mesure augmenté de réverb pour la traversée de la désolation.

26249166340_6862f8160a_o.jpg
Chaos is my name, par Khlyst, du drone avec un chant féminin qui navigue entre l'extrême du rauque, du cri et du chuchotement, de la sorcellerie faite musique.

25938692964_9d229a7786_o.jpg
Terraformer, par Knut, du post-hardcore post-apocalyptique de bunker, aussi lointain et noisy que superbement produit et évocateur. Une dystopie en noir et blanc. Un trip aseptisé qui vous emporte trop loin dans les coursives, avec des compagnons seulement à moitié réels.

24619840744_b43a2ab7ef_o.jpg
Hyperion, par Krallice, un black metal spatial et instrumental, lumineux, intense et habité.

50828509862_4191d77bac_o.jpg
Le Mal des Ardents, par La Breiche, un dark folk qui sonne comme un western médiéval et obscurantiste.

50827672298_5af25494a9_o.jpg
S/t, par Les Chants du Hasard, du black metal baroque entièrement joué avec un orchestre de chambre et qui alterne chant choral et hurlements maléfique pour un carnaval morbide de haute noblesse !

25131276359_57a90e3532_o.jpg
Wandervogel des Waldes, par Lord Lovidicus, du dungeon-synth aux accents de folk médiéval, patient, nostalgique et atmosphérique.

50828420251_0cf7d1b325_o.jpg
Canticles of the Holy Scythe, par Lüüp, de la musique de chambre aux influences dark folk et black metal, un palais occulte et obsédant.

25132211642_d3b95759ee_o.jpg
Mare Decendrii, par Mamiffer, du piano / ambient / post-rock / noise à chant désincarné pour une mise en lumière de la désolation.

25231323313_b90112413b_o.jpg
Be all and end all, par Manes, du death-rock / trip-hop glacé et souterrain, au fin fond des cavernes intimes et peuplées de nos fantômes les plus glacés et promiscuitaires.

50828420351_9128f553ca_o.jpg
S/T, par Martyria, du dark folk horrifique médiéval et oriental, une atmosphère de plomb pour une bataille ou un fléau imminent.

50828420411_cf872c3b01_o.jpg
Psychopathia Sexualis- Original Motion Picture Soundtrack, par Paul Mercer, de la musique de chambre pour perfides bals masqués.

24311541393_6197c6b876_o.jpg
Morphogenesis, par Mind Necrosis Factor, electro-ambient oriental, voyage exotique au cœur de l'emprise.

26458399081_76fbb55c04_o.jpg
Parasignosis, par Mitochondrion, du post-death metal occulte, rapide, technique, enfumé et caverneux, pour des lendemains de messe noire qui dégénèrent en avènement d'Entités Mythologiques.

50557458073_d634b648f0_o.jpg
Never Forever, par Monarch, du drone-sludgecore assagi, toujours aussi pesant dans les instrus mais marqué par un chant féminin tour à tour éthéré et désespéré, une incantation de sorcellerie qui éventre la nuit.

26498544926_7f33d7c66c_o.jpg
Arriving Angels, par Helen Money, du violoncelle amplifié, sombre, beau et doom à la fois, l'orée de la forêt entre légèreté et désespoir.

25380350412_b846a41f7e_o.jpg
Dolmen Music, par Meredith Monk, chant soprano, choeurs masculins et orchestre de chambre pour une ode destructurée aux frontières de l'apaisement, de la folie et du paganisme.

33460502554_c5825edc71_o.jpg
Anden som Gjorde Oppror, par Mortiis, un grand classique du dungeon synth, médiéval et nostalgique. Riche en ambiances sous un premier abord austère.

26455923091_6afe9f2f42_o.jpg
The Ties that Blind, par Mouth of the Architect, jamais post-hardcore n'aura sonné plus épique, plus vaste et plus immortel.

24549008279_8d6218163c_o.jpg
Truth Becomes Death, par Nadja, chef d'œuvre du drone musical pour un parcours alchimique absolu, du plus léger au plus lourd.

26451346372_9ee34afc2d_o.jpg
The Eye of Every Storm, par Neurosis, l'aboutissement du post-hardcore, le calme avant la tempête, un calme pachydermique, extatique, rugueux, sincère et terrifiant, un ours qui lèche ses blessures avant la mort, avant le dernier assaut.

26451346122_32baf6769b_o.jpg
A Given to the Rising, par Neurosis, du post-hardcore sludge et massif, le plus forestier des albums de Neurosis, une chasse morbide vers le secret de l'existence.

26509185771_aef864bd28_q.jpg
Within The Darkness Between The Starlight, par Nhor, entre piano à fleur de peau et black metal atmosphérique, un temple gothique de nature, d'émotions et de ténèbres.

26478068811_6a52cbf668_o.jpg
La Haine Primordiale, par Nors'Klh, du dark ambient martial toute de fureur rentrée qui orchestralise la montée en puissance du mal.

24305762114_decd0b4ae5_o.jpg
Origine(s) part 1, par Nors'Klh (ambient orchestral, lyrique et exotique pour la décadence des grandes civilisations)

25831869246_0020592579_o.jpg
Eye-tree-Pi, par Obiat, du stoner metal à chant clair épique, mazouté et hallucinogène, guerrier et contemplatif à la fois, désertique et labyrinthiquement touffu.

25229688516_51a18107ed_o.jpg
Tribute to Krzysztof Penderecki: Passio et mors Domini nostri Jesu Christi secundum Lucam, par Of Darkness, la collision de la musique classique sacrée, du doom et du black metal pour un tableau infernal et hanté.

25380350802_00959a4efa_o.jpg
Pilgrimage, par Om, du doom / folk à chant clair, ritualiste, mystique et cyclique, pour un séjour dans les dédales de la raison et de l'égrégore.

26249166000_ca93b891aa_o.jpg
Geisterstadt, par Omega Massif, un post-rock lourd, triste et urbain pour une soirée de fin du monde dans une ville fantôme.

29046195310_1546767c02_q.jpg
Gran Poder, par Orthodox, du doom metal avec un rare chant clair, entre drone et liturgie, une cloison étouffante pour icônes salies.

50827672453_93429a671a_o.jpg
V.I.T.R.I.O.L par Pénitence Onirique, du black métal mélodique sur le thème de l’alchimie, atmosphérique et épique !

30180990022_e7615508d3_q.jpg
La imposibilidad de tu nombre, par Peregrino, la dernière ligne de piano quand tout s'arrête.

26432156862_bfb4d009a3_o.jpg
Swarth, par Portal, du death metal occulte enfumé jusqu'à l'os, charriant le remugle, l'ombre méphitique, frénétique et baveuse de Shub-Niggurath en personne.

50828509972_3c8aec9bb3_o.jpg
Metamorphosphoros, par Precaria, Deathspiral of inherited suffering et Dominus Ira, du black métal occulte et mélodique entièrement tourné vers les concepts alchimiques, pour une transmutation des plus belles et abjectes.

24882820679_85fc127de7_o.jpg
Pyramids, par Pyramids, du black metal étouffé avec un chant clair éthéré, étrange et déstabilisant.

26249166870_7e2b3cc5af_o.jpg
Misanthropic Alchemy, par Ramesses, du stoner doom frontal et chimique pour bouillon de culture occulte !

24882820779_9857da5a04_o.jpg
Circular Time, par Ramleh, du post-rock / noise / americana / psyché-drone / power electronics chamanique et intense et circulaire et lourd et ensorcelé.

25100106701_ebfa22640e_o.jpg
Exilé, par Regarde les Hommes Tomber, du metal noir / screamo qui dépeint la toile du Jugement Dernier.

25203216060_7715279d8c_o.jpg
Steve Reich : Drumming, par So Percussion, une pièce de percussions sur une partition minimaliste, un parcours dans des villages, des maisons et des labyrinthes de bois circulaire, hypnotique, interminable.

34179097733_f2114e3465_q.jpg
Primal Sphere, par Robedoor. Entre psyché-drone et power electronics, une messe noire à la recherche de l’antimatière.

24954884640_fdec2f5bc7_o.jpg
Imihs, par Shelving, post-rock aux influences kraut, une aventure au bout de la nuit, au bout des rêves, au bout des montagnes.

26270797030_ae17124f50_o.jpg
The Witch Hammer, par Shinjuku Thief, un dark ambient orchestral et gothique pour châteaux hantés, forêts maudites et spectres livides.

27516065715_bd9b8b41c0_q.jpg
Tristan Perish : Surface Plane, par Vicky Show : du piano minimaliste et funambule, comme une araignée sur la rosée.

24566067863_f942e693f6_o.jpg
Dopesmoker, par Sleep, un monument du stoner doom metal, caravane processionnaire des mangeurs de lotus au cœur d'un pèlerinage halluciné de lourdeur.

50664891892_95824d23c7_o.jpg
Never were the way she was, par Colin Stetson & Sarah Neufeld. Un sax, un violon, un domaine forestier étrange, immersif, total.

24824427789_dc12a76a4c_o.jpg
Almost Invisible, par Subarachnoid Space, le pinacle du psyché-drone pour l'exploration infinie d'un temple sonique voué au dieu du mescal.

26458399101_6722e9fa63_o.jpg
More Constant than the Gods, par Subrosa, un doom metal aux accents stoner et à la production claire, emmené par un chant féminin hypnotique, pour les soirs de tristesse et de batailles incantatoires, lourdes, narcotiques et triomphantes.

25857878735_eedeb06492_o.jpg
The Pomegranate Cycle, par Textile Audio, un opéra intimiste et contemporain, série de vies croisées tragiques et quotidiennes, fragiles comme des biches, dont la nature est témoin.

25203215870_0fe2527411_o.jpg
Grote Mandrenke, par Troum, de l'ambient orchestral et drone, spectral, caverneux, infini et introspectif.

25380350112_d1f91740f8_o.jpg
Symballein, par Troum, l'ambient drone d'un monde spectral, ou voix, atmosphères, terre et mer se confondent dans un flou lointain.

26251633320_abed931c38_o.jpg
Snailking, par Ufomammut, du stoner doom metal, psychédélique, électro et bruitiste, une spirale de décantation dans les bras graisseux de l'infini Roi Ver.

25919133763_3d4e58ae85_o.jpg
Svidd Neger OST, par Ulver, du sympho-electro-jazz pour une longue conversation avec la nuit.

26522012875_87b26bc804_o.jpg
The Black Flux, par Virus, entre black metal à chant clair sous zéro absolu, post-punk solidifié et jazz martial, une longue incantation nihiliste et raffinée qui traverse la moelle.

26298981330_6c73cb0a15_q.jpg
Eating or Vomiting Its Tail, par Johan G. Winther, entre power electronics, drone et americana, de plus en plus loin en perdition volontaire parmi les arbres, en communion avec les esprits et les monstres, les cycles se répètent.

24289394403_49ce31dd0c_o.jpg
Celestite, par Wolves in the Throne Room, space ambient des explorations lointaines et terrifiantes à l'intérieur de soi-même et de la forêt.

25132211082_8c63f09c72_o.jpg
Come the Thaw, par Worm Ouroboros, musique gothique avec guitares tantôt classiques tantôt doom, autour du chant fragile d'une biche qui n'en finit pas d'attendre le dégel.

26544148585_cac637658c_o.jpg
Ausserwelt, par Year of No Light, départ pour l'île des morts à bord d'un post-hardcore sans parole.


Auteur de Millevaux.
Outsider. Énergie créative. Univers artisanaux.
Ma page Tipee.

Hors ligne

Pied de page des forums